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- 43 p.
Cote : 237 ROS w
Whereas globally the practice of child marriage has slowly been decreasing since the 1980s, no significant changes have been seen in this region.
According to information from UNICEF5, 30 per cent of
women between the ages of 20 and 49 in Latin America and the Caribbean were married or entered into a union before the age of 18, while 18 per cent married before the age of 15.
In countries in the region, the prevalence of child marriage in rural areas is almost double that of urban areas; girls from poor families and those living in rural areas are particularly vulnerable.
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Whereas globally the practice of child marriage has slowly been decreasing since the 1980s, no significant changes have been seen in this region.
According to information from UNICEF5, 30 per cent of
women between the ages of 20 and 49 in Latin America and the Caribbean were married or entered into a union before the age of 18, while 18 per cent married before the age of 15.
In countries in the region, the prevalence of child marriage in rural ...
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MARIAGE FORCÉ ; AMERIQUE LATINE ; LEGISLATION ; DROITS HUMAINS ; EQUATEUR ; MEXIQUE ; PANAMA ; RECOMMANDATION ; GUIDE
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- n° 131 - p. 14-16
Cote : P 270
Quand il n'est pas thérapeutique, l'avortement est illégal en Equateur, comme un Argentine ou au Pérou. Mais les habitantes de ces pays peuvent accéder à des infomations claires pour avorter seules en toute sécurité...Un ingénieux système inventé par des femmes, jeunes et féministes.
AVORTEMENT ; EQUATEUR ; AVORTEMENT CLANDESTIN ; CONDITION FEMININE
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vol. 17 - n° 1 - p. 37-39
Cote : P 382
En dépit des initiatives de la politique de l'Equateur, l'accès aux services en santé sexuelle et reproductive au travers du pays demeure faible, avec des inégalités bien marquées.
EQUATEUR ; SANTE SEXUELLE ET REPRODUCTIVE ; DROIT
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- 232 p.
Cote : 222 MAN
Dans le cadre de son programme visant à promouvoir la participation des collectivités aux soins de santé primaires, l'Organisation Mondiale de la Santé collecte et diffuse des informations susceptibles d'aider les pays à améliorer les conditions des accoucheuses traditionnelles à la santé des mères et des enfants. Des études de cas ont été entreprises dans l'intention de faire connaître les expériences auxquelles ont donné lieu divers aspects de la formation des accoucheuses traditionnelles et de leur utilisation dans les services de santé.
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Dans le cadre de son programme visant à promouvoir la participation des collectivités aux soins de santé primaires, l'Organisation Mondiale de la Santé collecte et diffuse des informations susceptibles d'aider les pays à améliorer les conditions des accoucheuses traditionnelles à la santé des mères et des enfants. Des études de cas ont été entreprises dans l'intention de faire connaître les expériences auxquelles ont donné lieu divers aspects de ...
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SAGE-FEMME ; CECOS ; FORMATION DES ADULTES ; EQUATEUR ; HONDURAS ; PHILIPPINES ; SIERRA LEONE ; SRI LANKA ; SOUDAN ; THAILANDE ; TECHNIQUE D'ACCOUCHEMENT ; PLANIFICATION FAMILIALE ; ANNÉES 80
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- n° 3
Cote : P 301
Une analyse descriptive de l'abandon de la contraception, basée sur des données d'enquêtes démographiques et de santé provenant de six pays avec des niveaux élevés d'utilisation de contraceptifs, révèle qu'environ le tiers des couples cessent d'utiliser leur méthode dans un délai de 12 mois et environ la moitié le font dans un délai de 24 mois. Les porteuses de stérilet étaient les moins susceptibles de cesser d'utiliser leur méthode, 82% à 89% des utilisatrices persistant après un an et 65% à 80% continuant au terme de deux ans. Les niveaux d'abandon d'autres méthodes modernes sont similaires à ceux de méthodes traditionnelles, mais les motifs de l'abandon varient. En ce qui concerne les contraceptifs hormonaux et le stérilet, les questions de santé (y compris les effets secondaires) constituent le motif invoqué le plus souvent. Pour le retrait et l'abstinence périodique, la grossesse accidentelle est le motif dominant. Lesfemmes utilisant la pilule ou le stérilet sont plus susceptibles de continuer l'usage si leur famille a atteint la taille désirée. Cependant, une analyse des données sur la pilule révèle que l'instruction et la résidence exercent une influence limitée, voire même aucune, sur les niveaux d'abandon.
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Une analyse descriptive de l'abandon de la contraception, basée sur des données d'enquêtes démographiques et de santé provenant de six pays avec des niveaux élevés d'utilisation de contraceptifs, révèle qu'environ le tiers des couples cessent d'utiliser leur méthode dans un délai de 12 mois et environ la moitié le font dans un délai de 24 mois. Les porteuses de stérilet étaient les moins susceptibles de cesser d'utiliser leur méthode, 82% à 89% ...
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CONTRACEPTION ; ASPECT PSYCHOLOGIQUE ; DISPOSITIF INTRA-UTERIN ; MAROC ; TUNISIE ; EGYPTE ; EQUATEUR ; INDONESIE ; THAILANDE