En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation d'un simple cookie d'identification. Aucune autre exploitation n'est faite de ce cookie. OK

F Nous contacter
Infos pratiques
Suggestion d'achat

L Inscription à la revue de presse

Documents INJONCTION 41 résultats

Filtrer
Sélectionner : Tous / Aucun
P Q
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

Le temps du choix : être ou ne pas être mère ZOURLI Bettina | Payot janvier 2024

Ouvrage (VIE FAMILIALE ET RELATIONNELLE)

- 221 p.
Cote : 422 ZOU
La société doit offrir aux femmes les conditions nécessaires pour qu'elles puissent choisir en conscience de devenir ou de ne pas devenir mères.
Dans l'histoire, les femmes ont passé bien plus de temps à tenter de ne pas tomber enceintes que le contraire, et ce pour une très bonne raison : la maternité les fragilise. Seul l'avènement de la contraception dans les années 1960 a sonné l'heure du choix : le réel désir d'être mère peut advenir dès lors que la possibilité de ne pas l'être existe.
Pourtant, cette liberté semble encore sous contraintes : injonction sociale à enfanter, stigmatisation des femmes ne souhaitant pas avoir d'enfant, inégalités économiques et sociales pesant sur les mères, violences au sein de la famille nucléaire… D'un côté, on nous rebat les oreilles avec le désir d'enfant, comme si l'unique destin des femmes était la maternité ; de l'autre, les entraves à la liberté de procréer persistent et les violences faites aux mères gagnent du terrain.
Or, une société qui met la pression aux femmes pour qu'elles deviennent mères puis les violente de la sorte
n'est-elle pas profondément malade ? [-]
La société doit offrir aux femmes les conditions nécessaires pour qu'elles puissent choisir en conscience de devenir ou de ne pas devenir mères.
Dans l'histoire, les femmes ont passé bien plus de temps à tenter de ne pas tomber enceintes que le contraire, et ce pour une très bonne raison : la maternité les fragilise. Seul l'avènement de la contraception dans les années 1960 a sonné l'heure du choix : le réel désir d'être mère peut advenir dès ...[+]

MATERNITE ; DESIR D'ENFANT ; NON DESIR D'ENFANT ; INJONCTION ; FAMILLE ; CHOIX ; EGALITE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 197 p.
Cote : 413 LEV
Légale depuis 2001 en France, la stérilisation reste taboue. Culpabilisées, infantilisées, méprisées, considérées comme « anormales », les femmes qui prétendent à cette méthode contraceptive affrontent les critiques de leurs proches et les réticences du corps médical. Nombreux·ses sont encore les médecins qui refusent cet acte à des patientes jugées « trop » jeunes, surtout si elles n'ont jamais eu d'enfant. Commence alors pour elles un véritable parcours de la combattante. Ce constat est le point de départ de l'analyse claire et scrupuleuse menée par Laurène Levy. Pourquoi la contraception définitive a-t-elle si mauvaise réputation ? Aux conséquences d'une histoire douloureuse – stérilisations forcées à visée eugéniste ou raciste, politiques natalistes, interdits religieux… – se greffe l'obstacle symbolique. Accepter qu'une femme adopte la stérilisation, c'est admettre enfin son droit de s'émanciper de l'injonction à la maternité. Alors comment transformer les mentalités pour que la stérilisation passe du statut d'outil d'oppression à celui d'instrument de libération ? Comment gagner cette nouvelle bataille du droit à disposer de nos corps ?[-]
Légale depuis 2001 en France, la stérilisation reste taboue. Culpabilisées, infantilisées, méprisées, considérées comme « anormales », les femmes qui prétendent à cette méthode contraceptive affrontent les critiques de leurs proches et les réticences du corps médical. Nombreux·ses sont encore les médecins qui refusent cet acte à des patientes jugées « trop » jeunes, surtout si elles n'ont jamais eu d'enfant. Commence alors pour elles un ...[+]

STERILISATION VOLONTAIRE ; SANTE SEXUELLE ET REPRODUCTIVE ; INJONCTION ; CONTRACEPTION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
V
- 62 p.
Cote : 422 MAR
Apports théoriques sur la puissance et la signification de l'injonction à la maternité dans notre société et sur le choix d'une minorité
de femmes de mener tout de même une vie sans enfant. Partant de ma propre expérience de femme libre d'enfant, nullipare
épanouie mais néanmoins sujette à la pression parfois culpabilisante de la norme, je réfléchis sur ce que cela implique
dans mon engagement au Planning Familial et dans l'apprentissage du métier de CCF. J'en tirerai un certain nombre de pistes de réflexions et d'actions à proposer au sein de nos équipes militantes et/ou salariées.[-]
Apports théoriques sur la puissance et la signification de l'injonction à la maternité dans notre société et sur le choix d'une minorité
de femmes de mener tout de même une vie sans enfant. Partant de ma propre expérience de femme libre d'enfant, nullipare
épanouie mais néanmoins sujette à la pression parfois culpabilisante de la norme, je réfléchis sur ce que cela implique
dans mon engagement au Planning Familial et dans l'apprentissage du ...[+]

NON DESIR D'ENFANT ; GENRE ; INJONCTION ; MATERNITE ; FEMME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 215 p.
Cote : 422 DEB
Le refus d'entrer en parentalité doit être lu en interaction étroite avec les normes conjugales et professionnelles qui se reconfigurent depuis les avancées sociales, féministes et juridiques des années 1970. À partir de données statistiques récentes et de récits de vie denses et régulièrement convoqués au fil du texte, l'ouvrage s'intéresse aux motivations des personnes volontairement sans-enfant qui ont accepté de témoigner. À la croisée de la sociologie de la famille, du genre et de la déviance, l'ouvrage permet de suivre ces « outsiders de la parentalité ».[-]
Le refus d'entrer en parentalité doit être lu en interaction étroite avec les normes conjugales et professionnelles qui se reconfigurent depuis les avancées sociales, féministes et juridiques des années 1970. À partir de données statistiques récentes et de récits de vie denses et régulièrement convoqués au fil du texte, l'ouvrage s'intéresse aux motivations des personnes volontairement sans-enfant qui ont accepté de témoigner. À la croisée de la ...[+]

NON DESIR D'ENFANT ; INJONCTION ; MATERNITE ; PARENTALITE ; SOCIOLOGIE ; FRANCE ; CHOIX

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 240 p.
Cote : 424 FRO
Agréable ou pénible, exaltante ou angoissante, intime et sociale, la grossesse est une expérience à la fois profondément individuelle et éminemment politique. Parce que la maternité a longtemps été le destin « naturel » des femmes, il leur a fallu s'en affranchir et conquérir la liberté de choisir d'être mères ou pas. Mais, aussi libre soit-il, le choix de la maternité n'en reste pas moins synonyme de charges et de doutes, y compris – et peut-être même surtout – durant la période de gestation. Être enceinte, c'est se soumettre aux regards, aux commentaires et aux normes qui prennent le contrôle de ce si gros ventre. La philosophe Camille Froidevaux-Metterie a passé du temps en immersion dans une maternité, elle y a rencontré des femmes enceintes qu'elle a interrogées sur leur expérience vécue du corps enceint. À travers ces paroles singulières qui disent la troublante transformation physique, les sentiments de joie ou de rejet, les innombrables injonctions – au silence, au bonheur, au poids idéal –, c'est le double mouvement de l'aliénation et de la réappropriation du corps des femmes qui se déploie. En pensant ce qui ne se pense pas, en questionnant ce qui est considéré comme naturel, Camille Froidevaux-Metterie poursuit son travail d'élaboration d'un féminisme incarné qui place l'intime des corps sur le chemin de la libération.[-]
Agréable ou pénible, exaltante ou angoissante, intime et sociale, la grossesse est une expérience à la fois profondément individuelle et éminemment politique. Parce que la maternité a longtemps été le destin « naturel » des femmes, il leur a fallu s'en affranchir et conquérir la liberté de choisir d'être mères ou pas. Mais, aussi libre soit-il, le choix de la maternité n'en reste pas moins synonyme de charges et de doutes, y compris – et ...[+]

GROSSESSE ; CORPS ; IMAGE DU CORPS ; INJONCTION ; DESIR D'ENFANT

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- 70 p.
Cote : 422 LAH
En France 5% des femmes, et presque 12% ailleurs dans le monde, n'ont pas un désir d'enfant ou ne peuvent pas accomplir ce désir. Qui leur offre un lieu d'écoute face aux pressions qu'elles peuvent rencontrer ? Qui les accompagne dans ce cheminement qui peut être source de questionnements, de détresse ,d'incompréhensions de jugements ? Nous sommes au cœur des questions du métier de CCF.

MATERNITE ; INJONCTION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 225 p.
Cote : 216 LEN
Au XXIe siècle, les femmes s'épilent. Pourquoi ? Pour qui ? Si célébrités et anonymes affichent fièrement leur corps non épilé, dans la société, le sujet reste tabou. Mais nous, on veut en parler et en montrer les enjeux. Pour cela, on est allées à la rencontre de sociologues, psychologues, dermatologues, gynécologues, esthéticiennes et spécialistes en marketing. On a aussi recueilli des milliers de témoignages, rencontré des créatrices de contenus, des militantes et des femmes de tous âges, tout simplement. Voici donc, en une dizaine de chapitres thématiques, une enquête qui aborde de multiples questions. Pourquoi les femmes s'épilent-elles aujourd'hui et d'où vient cette habitude ? Peut-on parler de discrimination pilophobe ? L'art a-t-il joué un rôle dans l'invisibilisation du poil ? Comment se porte l'industrie de l'épilation ? Le poil pubien est-il non hygiénique ? viril ? anti-orgasme ? Et surtout : les femmes sont-elles libres de faire ce qu'elles veulent de leur corps ?[-]
Au XXIe siècle, les femmes s'épilent. Pourquoi ? Pour qui ? Si célébrités et anonymes affichent fièrement leur corps non épilé, dans la société, le sujet reste tabou. Mais nous, on veut en parler et en montrer les enjeux. Pour cela, on est allées à la rencontre de sociologues, psychologues, dermatologues, gynécologues, esthéticiennes et spécialistes en marketing. On a aussi recueilli des milliers de témoignages, rencontré des créatrices de ...[+]

PILOSITE ; CORPS ; IMAGE DU CORPS ; INJONCTION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

Cote : V 868 SEX w
"La fellation est le ciment du couple, la bisexualité féminine est devenue swag, le sperme améliore l'éclat du teint... : nous sommes submergés d'injonctions, d'idées reçues et de représentations ultra-normées. Stop aux diktats sexuels ! Avec Libres !, Ovidie et Sophie-Marie Larrouy proposent de faire ce qu'on veut, comme on veut et surtout uniquement si on veut."

INJONCTION ; GENRE ; SEXUALITE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 97 p.
Cote : 202 COL
Pour ce 17e hors-série, la rédaction de Ça m'intéresse Histoire aborde, avec la complicité du mensuel Causette, le corps des femmes. Des articles inédits et une sélection de sujets parus dans Ça m'intéresse Histoire ou Causette composent les six chapitres. Des chapitres qui reprennent les injonctions faites aux femmes depuis plus de 3 000 ans : Cachez ce sexe ! Sois belle et tais-toi ! Faites des enfants ! Brûlez les insoumises ! Couvez vos seins ! et Domptez vos cheveux ![-]
Pour ce 17e hors-série, la rédaction de Ça m'intéresse Histoire aborde, avec la complicité du mensuel Causette, le corps des femmes. Des articles inédits et une sélection de sujets parus dans Ça m'intéresse Histoire ou Causette composent les six chapitres. Des chapitres qui reprennent les injonctions faites aux femmes depuis plus de 3 000 ans : Cachez ce sexe ! Sois belle et tais-toi ! Faites des enfants ! Brûlez les insoumises ! Couvez vos ...[+]

CORPS ; HISTOIRE ; FEMME ; INJONCTION ; APPARENCE ; MATERNITE ; SORCIÈRE ; SEIN

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 248 p.
Cote : 220 SCH
Au départ, il y avait cette question : pourquoi le fait que je ne veuille pas d'enfant pose-t-il un problème à tout le monde, sauf à moi ? J'ai trouvé la réponse : parce que je suis une femme en âge d'en avoir qui coche 100% des cases du bingo procréatif. Même 50 ans après la légalisation de la pilule et de l'avortement en France, être une femme, c'est être une mère : être nullipare, volontaire ou plus souvent, involontaire, c'est donc être reléguée en D2 de féminité. Pourtant il ne suffit pas d'être mère pour qu'on vous fiche une paix très relative - oh non… Encore faut-il être une « bonne » mère, selon des normes procréatives et éducatives de plus en plus nombreuses, rigides et contradictoires. Résultat : la plupart des mères, celles qu'on ne voit pas à la télé ni sur Instagram, sont de plus en plus épuisées tout en se sentant de moins en moins légitimes (capables?). Tant que l'on considèrera que la maternité n'est pas une option mais une preuve de la féminité, tant que la parentalité restera d'abord une affaire de femmes, donc que c'est à elles de concilier leurs douze journées, les inégalités persisteront, non seulement entre les femmes et les hommes, mais aussi et avant tout entre les femmes. A nous de décider qu'elles ne sont pas une fatalité.[-]
Au départ, il y avait cette question : pourquoi le fait que je ne veuille pas d'enfant pose-t-il un problème à tout le monde, sauf à moi ? J'ai trouvé la réponse : parce que je suis une femme en âge d'en avoir qui coche 100% des cases du bingo procréatif. Même 50 ans après la légalisation de la pilule et de l'avortement en France, être une femme, c'est être une mère : être nullipare, volontaire ou plus souvent, involontaire, c'est donc être ...[+]

MATERNITE ; NON DESIR D'ENFANT ; INJONCTION ; NORME ; PARENTALITE ; GENRE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

Amour libreS | Télé chez moi 03/2020 H

Vidéo (SEXUALITES)


Cote : V 851 SEX w
Ce serait quoi, une sexualité féministe et libertaire ? Une façon de vivre l'intimité, la sexualité, qui ne serait pas basée sur la violence, sur la consommation, sur la sommation, mais un amour horizontal, tendre, démocratique, fondé sur l'écoute du plaisir de chacune et chacun, sur le jouir et faire jouir, sur le jeu et la caresse et pas sur la pénétration, pour un soir, une semaine ou une vie ? Pour tenter d'y répondre, Télé Chez Moi et Pilule Rouge ont réalisé un do(cul)mentaire où parler du cul est éminemment politique. Parler de cul est nécessaire. Parler de cul nous libère.[-]
Ce serait quoi, une sexualité féministe et libertaire ? Une façon de vivre l'intimité, la sexualité, qui ne serait pas basée sur la violence, sur la consommation, sur la sommation, mais un amour horizontal, tendre, démocratique, fondé sur l'écoute du plaisir de chacune et chacun, sur le jouir et faire jouir, sur le jeu et la caresse et pas sur la pénétration, pour un soir, une semaine ou une vie ? Pour tenter d'y répondre, Télé Chez Moi et ...[+]

SEXUALITE ; INJONCTION ; HOMOSEXUALITE ; TRANSIDENTITE ; GENRE ; PRATIQUE SEXUELLE ; TEMOIGNAGE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 10 p.
Présentation de Miléna Raffaillac, coordinatrice nationale du Programme "Handicap et alors ?" au congrès de l'Ancic, Troyes, 2019.

HANDICAP ; SEXUALITE ; CONTRACEPTION ; INJONCTION ; FRANCE ; PROGRAMME D'ACTION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 245 p.
Cote : R NOA
C'est le début. L'absence de sensations. Les inquiétudes irrationnelles. La peur que, soudain, tout s'arrête. Alors, stupéfier les joies dans le sillon des lendemains incertains. Ne pas s'amouracher d'un tubercule en formation, c'est bien trop ridicule et puis, sait-on jamais, il pourrait. Mourir. Je me sens coupable. D'un bonheur qui ne vient pas. Je me sens coupable. Des larmes insensées alors que je devrais sourire. Et puis, ce matin-là, j'entends. Entre les quatre murs silencieux qui ne voient pas le désordre alentour, j'entends. Le balbutiement de son cœur. Le Corps d'après est le récit d'un enfantement, et d'une lutte. Contre les injonctions, le bonheur factice, le conformisme. Au bout du chemin, pourtant, jaillit la vie. Celle qu'on s'inventera, pied à pied, coûte que coûte. Pour que, peu à peu, après la naissance de l'enfant, advienne aussi une mère, femme enfin révélée à elle-même.[-]
C'est le début. L'absence de sensations. Les inquiétudes irrationnelles. La peur que, soudain, tout s'arrête. Alors, stupéfier les joies dans le sillon des lendemains incertains. Ne pas s'amouracher d'un tubercule en formation, c'est bien trop ridicule et puis, sait-on jamais, il pourrait. Mourir. Je me sens coupable. D'un bonheur qui ne vient pas. Je me sens coupable. Des larmes insensées alors que je devrais sourire. Et puis, ce matin-là, ...[+]

NAISSANCE ; CORPS ; MATERNITE ; FEMME ; INJONCTION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° 204 - p.30-32
Cote : P 270
Au royaume du lisse, les femmes n'ont pas de poils. Les moyens ne manquent pas pour repousser 'l'envahisseur" toujours plus loin. Au point que la norme d'un pubis imberbe a désormais envahi nos culottes. Pour le denier volet de sa rubrique " A bras-le-corps" Axelle ne caresse pas la société patriarcale dans le sens du poil!

PILOSITE ; PUBIS ; INJONCTION ; IMAGE DU CORPS

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
- n° H.S. - Entier
Cote : P 270
Articles: Les péripéties de la sexualité féminine ; Clitoris le nec plus ultra ; frigide ou pas? ; "Nous sommes érotisées et animalisées" ; Juste un peu de sang ; Avortement, sexualité: des irlandaises défient l'emprise religieuse ; Quand dire non devient "délicat" ; A l"école de la sexualité: un bulletin moyen pour l'EVRAS du cadre scolaire belge ; La gynécologie, au service des femmes? ; Un lit à soi ; Jouir avec soi-même ; Sextoys: amis ou ennemis des femmes? ; Un porno féministe, est-ce possible ; L'amour entre femmes: livres choisis[-]
Articles: Les péripéties de la sexualité féminine ; Clitoris le nec plus ultra ; frigide ou pas? ; "Nous sommes érotisées et animalisées" ; Juste un peu de sang ; Avortement, sexualité: des irlandaises défient l'emprise religieuse ; Quand dire non devient "délicat" ; A l"école de la sexualité: un bulletin moyen pour l'EVRAS du cadre scolaire belge ; La gynécologie, au service des femmes? ; Un lit à soi ; Jouir avec soi-même ; Sextoys: amis ou ...[+]

SEXUALITE ; FEMME ; PLAISIR SEXUEL ; INJONCTION ; CLITORIS ; FRIGIDITE ; STÉRÉOTYPE ; RACISME ; SEXISME ; REGLES ; AVORTEMENT ; IRLANDE ; EGLISE CATHOLIQUE ; CONSENTEMENT ; TEMOIGNAGE ; BELGIQUE ; EDUCATION A LA SEXUALITE ; GYNECOLOGIE ; MASTURBATION ; PORNOGRAPHIE ; LESBIANISME

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- p. 67-94
Cet article s'intéresse aux rapports de genre qui se jouent aujourd'hui autour de l'usage du préservatif masculin. Il s'appuie sur des entretiens auprès d'hommes et de femmes diplômé·e·s de 20 à 35 ans ayant des rapports hétérosexuels et sur des données quantitatives issues de l'enquête FECOND (2010, Inserm/Ined). L'article revient d'abord sur la diffusion progressive de « l'évidence du préservatif » dans la société française. Il montre ensuite que, dans la majorité des situations, les femmes ont aujourd'hui la charge aussi bien logistique que « mentale » du préservatif. Ainsi, c'est désormais aussi bien la contraception que la protection qui est du ressort féminin. Mais les rapports de genre transparaissent également lorsque l'on s'intéresse à l'utilisation même du préservatif au cours de l'acte sexuel (masculinité technique, féminité sanitaire). Cet objet semble ainsi être un bon révélateur des représentations genrées de la sexualité qui prévalent aujourd'hui encore, ainsi que des doubles injonctions faites aux femmes. [-]
Cet article s'intéresse aux rapports de genre qui se jouent aujourd'hui autour de l'usage du préservatif masculin. Il s'appuie sur des entretiens auprès d'hommes et de femmes diplômé·e·s de 20 à 35 ans ayant des rapports hétérosexuels et sur des données quantitatives issues de l'enquête FECOND (2010, Inserm/Ined). L'article revient d'abord sur la diffusion progressive de « l'évidence du préservatif » dans la société française. Il montre ensuite ...[+]

PRESERVATIF EXTERNE ; INJONCTION ; GENRE ; SOCIOLOGIE ; SEXUALITE ; FRANCE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n.p.
Cote : J 210 CAL
Il était une fois une pauvre jeune fille qui vivait avec son exécrable belle-mère et ses encore plus exécrables belles-soeurs. Elle passait ses journées à faire le ménage pendant que ces dames prenaient le thé et s'empiffraient de petits gâteaux. Cendrillon rêvait d'un prince charmant qui arriverait sur son cheval blanc pour la sauver. Mais aucun prince n'arrivait jamais...

EGALITE FEMME HOMME ; IMAGE DES FEMMES ; INJONCTION ; LITTERATURE POUR ENFANT

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- n° 11/09/2016
Cote : P w
Les injonctions à la vertu n'ont jamais protégé les jeunes des infections sexuellement transmissibles et des grossesses non prévues. Les adolescents manquent de lieux d'écoute et de parole.

SEXUALITE ; ADOLESCENCE ; MORALE ; INJONCTION ; INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y

Poils aux pattes. CHABBERT Ingrid ; DELAPORTE Bérengère | 400 coups (Les) 2016 H

Ouvrage (VIE FAMILIALE ET RELATIONNELLE)

- n.p.
Cote : J 415 CHA
Gertrude la grenouille n'aime pas les poils tout raides qu'elle a aux pattes, et encore moins les moqueries que lui lancent les autres grenouilles. Elle déménage dans une mare plus tranquille, où personne ne peut rire d'elle. Sa rencontre avec un crapaud à la peau toute rose lui apprendra une belle leçon sur l'acceptation de la différence, et les nouveaux amis vivront fièrement avec leurs poils et leur peau rose, en laissant les méchancetés « glisser sur eux sans jamais les atteindre ».[-]
Gertrude la grenouille n'aime pas les poils tout raides qu'elle a aux pattes, et encore moins les moqueries que lui lancent les autres grenouilles. Elle déménage dans une mare plus tranquille, où personne ne peut rire d'elle. Sa rencontre avec un crapaud à la peau toute rose lui apprendra une belle leçon sur l'acceptation de la différence, et les nouveaux amis vivront fièrement avec leurs poils et leur peau rose, en laissant les méchancetés « ...[+]

EGALITE FEMME HOMME ; APPARENCE ; CORPS ; FAMILLE ; INJONCTION

Favoris
Déposez votre fichier ici pour le déplacer vers cet enregistrement.
y
- 253 p.
Cote : 424 GRE
Ne bois pas. Tu vas manger ça ? Reste sexy. Ne prends pas trop de poids. Allez, juste un verre ! Ce n'est pas une maladie. T'es sûre que tu peux danser dans ton état ? Fais ci. Ne fais pas ça… Pendant leur grossesse, les femmes n'échappent pas aux injonctions contradictoires. D'où viennent ces interdits ? Sont-ils toujours fondés ? En tombant enceinte, Renée Greusard, journaliste trentenaire, a tenté de répondre à ces questions et à tant d'autres, souvent taboues, mais aussi de raconter sa génération. Celle qui veut tout, tout de suite. Celle qui se noie dans les méandres d'Internet. Celle qui fait rire sa mère : « C'est quoi cette grossesse de merde où tu ne peux plus rien faire ? » En partant à la rencontre de praticiens, de chercheurs et de femmes, elle a souhaité trouver une information plus juste pour sortir de l'infantilisation. Enceinte, tout est possible, on peut même rester maîtresse de son corps. Dingue, non ? Une enquête féministe, drôle et décalée qui déconstruit et analyse les légendes sur la grossesse à l'heure de la génération Y.[-]
Ne bois pas. Tu vas manger ça ? Reste sexy. Ne prends pas trop de poids. Allez, juste un verre ! Ce n'est pas une maladie. T'es sûre que tu peux danser dans ton état ? Fais ci. Ne fais pas ça… Pendant leur grossesse, les femmes n'échappent pas aux injonctions contradictoires. D'où viennent ces interdits ? Sont-ils toujours fondés ? En tombant enceinte, Renée Greusard, journaliste trentenaire, a tenté de répondre à ces questions et à tant ...[+]

MATERNITE ; GROSSESSE ; FEMME ; INJONCTION ; FRANCE ; TEMOIGNAGE

Favoris