Les violences conjugales sont aujourd'hui, un vrai problème de société, de santé publique et de politique. Bien que très fortement médiatisées depuis maintenant plusieurs années, elles restent néanmoins un sujet sensible avec ses incompréhensions, ses dysfonctionnements. Nous constatons que le nombre de victimes ne cesse d'augmenter. En France, depuis peu, une prise de conscience semble avoir émergé de la part du gouvernement et enfin prendre à bras le corps, le problème des violences conjugales. Ce dernier semble avoir comprit l'urgence d'accompagner les auteurs. La sanction pénale ne paraît plus être suffisante à l'heure d'aujourd'hui. Un réel travail pluridisciplinaire avec ces auteurs, doit avoir lieu, afin de lutter contre la récidive.
Intéressons-nous à ces auteurs, ces hommes. Qui sont-ils ? Comment sont-ils accompagnés ? Comment se met-il en place ? Et qu'en est-il réellement sur le terrain ? Pourrons-nous un jour éradiquer ce problème si fortement présent dans notre société ? Par quoi et par qui cela doit-il passer ?[-]

L'emprise que les femmes subissent au sein de leur vie de couple engendre des conséquences psychologiques. Or on ne peut pas les voir à l'œil nu. Des violences physiques peuvent laisser des traces visibles, à savoir du sang ou un hématome par exemple. Toutefois les violences psychologiques sont invisibles et donc difficiles à déceler. On sera alors devant une totale incompréhension devant le comportement des victimes d'emprise. Je vais alors essayer d'expliquer le mécanisme de l'emprise et ses effets sur la victime. Par la suite, en tant que future conseillère conjugale et familiale, mon objectif est de pouvoir accompagner au mieux une victime de violences conjugales en m'adaptant à son rythme et lui faciliter l'accès aux démarches qu'elle souhaite entreprendre.[-]

L'histoire nous apprend que l'avortement fait partie de la vie des femmes depuis l'antiquité. Au fil des siècles, des procédés plus ou moins efficace ont été utilisé au détriment de leur santé.
Dans le monde, une femme meurt toutes les 30 minutes d'un avortement clandestin. Quand un pays fête une victoire concernant des avancées dans la prise en charge de l'IVG, d'autres en restreints ou interdises sont accès. La religion, le tabou de la société, la méconnaissance des lois, alimente cette inertie autour de l'interruption volontaire de grossesse (IVG).
Il aura fallu attendre en 1975, avec la loi Veil, pour que l'avortement se légalise pour toutes les femmes, sans conditions et d'âge en France.
Mais quand est-il aujourd'hui ? Quelles sont les délais et démarches à effectuer ?
A travers ce mémoire, vous trouverez les réponses à ces questions.[-]