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Documents Maison des Sciences de l'Homme 2 résultats

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- 246 p.
Cote : 413 ROU
Suite à la récente « crise des pilules » de troisième et de quatrième générations, les femmes rejettent de plus en plus massivement ce moyen de contraception. Pourquoi la pilule est-elle alors tant prescrite en France, en dépit des critiques qu'elle soulève ? Comment est-elle devenue une évidence médicale alors qu'elle ne l'est pas dans d'autres pays ? Ces questions, abordées dans l'ouvrage, sont d'autant plus cruciales que ce standard médical n'est pas sans conséquences : il conduit à amalgamer « pilule » et « contraception », et à définir cette dernière exclusivement comme une « affaire de femmes ».
En décortiquant le mythe de la pilule comme « révolution », Alexandra Roux retrace la genèse de cette norme contraceptive française, éclairant les débats actuels sur le rejet de la pilule, sur ces risques et sur le partage de la charge contraceptive. Elle revient sur la manière dont les mouvements féministes en France ont érigé la pilule comme symbole de leurs luttes pour la liberté procréative, laissant peu de place à la critique des risques et des effets secondaires de ce médicament. L'idée que la pilule « libère les femmes » a aussi servi de puissant argument marketing aux industries pharmaceutiques pour se garantir de très larges profits. Ainsi, l'autrice met en exergue le rôle qu'ont joué l'institution médicale et les laboratoires pharmaceutiques dans le façonnement d'un « pilulocentrisme » à la française. En imposant la pilule comme seule réponse efficace et recommandable contre le « fléau » des avortements, ces acteurs ont participé à genrer la régulation des naissances, et à exempter durablement les hommes de cette charge, au détriment des femmes.[-]
Suite à la récente « crise des pilules » de troisième et de quatrième générations, les femmes rejettent de plus en plus massivement ce moyen de contraception. Pourquoi la pilule est-elle alors tant prescrite en France, en dépit des critiques qu'elle soulève ? Comment est-elle devenue une évidence médicale alors qu'elle ne l'est pas dans d'autres pays ? Ces questions, abordées dans l'ouvrage, sont d'autant plus cruciales que ce standard médical ...[+]

CONTRACEPTION ; CONTRACEPTION FEMININE ; PILULE ; METHODE DE CONTRACEPTION ; FRANCE ; NORME ; ANNÉES 70 ; FEMINISME ; LABORATOIRE PHARMACEUTIQUE ; PLANNING FAMILIAL

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y
- 272 p.
Cote : 706 CAR
Depuis les années 1990, des associations, comme Allegro Fortissimo et plus récemment Gras politique, ainsi que des militantes et autrices comme Gabrielle Deydier, ont imposé un nouveau terme pour parler des discriminations liées au poids : la grossophobie. La tendance « body positive », résultat de ces mobilisations contre les normes esthétiques et pondérales dominantes, a renouvelé les problématiques propres aux mouvements féministes et queer, mettant à nouveau la question du corps au cœur des revendication des militantes dans le monde entier.
Pourtant, les réseaux sociaux demeurent saturés d'« humour » grossophobe et la tyrannie de la minceur continue de sévir, générant mal-être, troubles du comportement alimentaire ou encore pratiques d'autocensure. Plus grave encore, les études chiffrées sur la grossophobie montrent qu'au-delà d'un certain poids les discriminations se systématisent. Elles ont lieu à l'embauche, au travail, mais aussi sur les applications de rencontre, dans les salles de sport, chez le médecin et même dans l'intimité, avec la famille.
Avec cet ouvrage, Solenne Carof, signe une des premières études sociologiques sur la grossophobie en France. Que vivent les personnes très corpulentes dans une société comme la nôtre ? Que révèle le stigmate de gros ou de grosse des normes qui pèsent différemment sur les hommes et sur les femmes ? Quelles conséquences cette stigmatisation a-t-elle sur les personnes concernées ? Au fil de son enquête, l'autrice dévoile les rapports de pouvoir qui se nichent dans la question du poids et structurent les hiérarchies propres à notre société.
Une étude décisive pour mettre en évidence l'importance d'une discrimination encore peu condamnée, tant socialement que juridiquement.[-]
Depuis les années 1990, des associations, comme Allegro Fortissimo et plus récemment Gras politique, ainsi que des militantes et autrices comme Gabrielle Deydier, ont imposé un nouveau terme pour parler des discriminations liées au poids : la grossophobie. La tendance « body positive », résultat de ces mobilisations contre les normes esthétiques et pondérales dominantes, a renouvelé les problématiques propres aux mouvements féministes et queer, ...[+]

DISCRIMINATION ; GROSSOPHOBIE ; VIOLENCE ; IMAGE DU CORPS ; STIGMATISATION ; SOCIOLOGIE

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