Elles ont vécu 68 et " les années Femme ", maîtrisé leur fécondité, connu l'amour dans tous ses états, glorifié la jeunesse, " tué " symboliquement les pères et ringardisé les vieux. Les voilà rattrapées par le temps et par l'âge, confrontées à la perte de leur jeunesse dans une société qui n'aime pas le vieillissement. Ayant perdu la valeur suprême, la jeunesse, et en l'absence de représentation symbolique de la maturité féminine, elles se sentent comme gommées de la société. Perte narcissique, leur cinquantaine se déroule aussi sous le signe du deuil: celui de la maternité, celui que représente le départ des enfants et le départ définitif des parents. Et parfois la désertion masculine.
Les auteurs ont une approche psycho-sociale de l'entrée en vieillissement de la génération des « baby-boomeuses ». Se fondant sur le témoignage et la réflexion d'une centaine de femmes mais aussi d'experts, psychanalystes, médecins, sociologues, publicitaires, historiens, ce livre est le premier à oser parler clair des stigmates physiques et psychologiques de l'âge et à les analyser.
La première approche psycho-sociale de la génération des femmes du baby-boom qui arrivent à l'âge fatidique des 50 ans, dans une société qui fait régner sur le vieillissement une véritable omerta.
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Elles ont vécu 68 et " les années Femme ", maîtrisé leur fécondité, connu l'amour dans tous ses états, glorifié la jeunesse, " tué " symboliquement les pères et ringardisé les vieux. Les voilà rattrapées par le temps et par l'âge, confrontées à la perte de leur jeunesse dans une société qui n'aime pas le vieillissement. Ayant perdu la valeur suprême, la jeunesse, et en l'absence de représentation symbolique de la maturité féminine, elles se ...
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