Plusieurs lecteurs ont relevé que dans notre synthèse "IVG médicamenteuse en ville. Des modalités et des contraintes légales à bien expliquer aux femmes", publiée dans le numéro 402 d'avril 2017, la dose mentionnée de mifépristone pour l'interruption volontaire de grosses (IVG) médicamenteuse jusqu'au 49e jour d'aménorrhée est de 200 mg, alors que la dose préconisée par le résumé des caractéristiques (RCP) français de la spécialité Mifégyne° daté du 23 mars 2018 est de 600 mg dans cette situation. Nous vous apportons ici quelques explication sur notre choix.[-]

Permettre à chacun d'enrichir sa connaissance des choses du sexe et de la sexualité, afin de mieux comprendre et bien vivre ses relations sexuelles, à tous les âges de la vie.
Un dictionnaire encyclopédique et pratique de référence, rédigé par les meilleurs spécialistes et avec tout le savoir-faire Larousse : pluridisciplinaire, complet, précis et sans tabous.
Le premier vrai dictionnaire sur la sexualité conçu pour le grand public qui facilitera le dialogue entre partenaires entre individus et praticiens entre parents et adolescents.
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Un répertoire de près de 500 mots et expressions de la langue familière, voire vulgaire ou argotique, évoquant les choses du sexe et de la sexualité.

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Reportage composé d'interviews de Laurence Roussel (membre du bureau du MFPF, responsable de la commission Avortement) Martine Leroy (membre de la commission Avortement du MFPF, Planning Familial de Nantes (44))et Daniele Gaudry (gynécologue dans le Val de Marne, MFPF (94), membre de la commission avortement et ancienne présidente du MFPF) et en alternance des séquences d'accueil individuel de femmes qui font une demande d'IVG. Images en gros plan sur une IVG chirurgicale par aspiration. [-]

Dossier réalisé à l'occasion d'un TPE (Travaux Personnels Encadré) d'élèves de seconde sur la contraception et le Planning Familial sur le modèle d'un véritable journal qui s'appelerait "Questions de femmes" avec un sommaire, un ours, une pagination, une bibliographie et imprimé de façon professionnelle (avec l'aide d'un parent imprimeur). Il comprend des affiches du Planning, des extraits de livres, de la brochure contraception... Elles sont é"galement aller interroger le Pr Etienne-Emile Baulieu, à l'origine du RU 486. [-]

L'article décrit les conditions optimales et fait le point sur les connaissances actuelles en matière de méthode et de techniques pour que l"'avortement chirurgical soit fait dans des conditions les moins traumatisantes possibles" , en respectant quand cela est nécessaire, le délai d'ouverture du col, et doit être pratiqué dans d'excellentes conditions d'asepsie. L'anesthesie locale a un taux de complications inférieur à l'anesthesie générale. Différentes techniques de dilatations cervicales existent : par maturation cervicale médicamenteuse, par mifepristone, par prostaglandine (géméprost et misoprostol) . l'IVG doit avoir lieu dans un bloc opératoire disposant de l'équipement anesthésique réglementaire et d'une table gynécologique . les différentes techniques d'évacuation (aspiration endo-utérine, ou méthode Karman) jusqu'à la 7e semaine d'aménorrhée, ou par aspiration endo utérine classique pour les grossesses entre 7 et 14 semaines, généralement sous anesthésie générale. [-]

Suite à des cas mortels de septicémie survenus aux Etats Unis dans une utilisation hors AMM (Autorisation de Mise sur le Marché), l'AFSSAPS a adressé aux prescipteurs en France dans le cadre de l'IVG médicamenteuse des recommandations.
utilisation avant 49 jours d'aménorrhée
avec un dosage de 600 mg de mifepristone et 400 ug de misoprostol 36 à 48 heures plus tard tous deux par voie orale ou de 1mg de gemeprost par voie vaginale
Aucun cas de complication similaire n'a été signalé en France et en Europe
les principaux événements graves rapportés étant des hémorragies
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En alternative à l'aspiration endo-utérine, la mifépristone ou RU 486 a permis de proposer une méthode médicamenteuse, en association avec une prostaglandine (misoprostol ou géméprost) pour interrompre les grossesses de moins de 7 semaines d'aménorrhée. Cette méthode, jusque là pratiquée uniquement à l'hôpital, s'avère aussi sûre en ambulatoire . Sa réalisation est désormais rendue possible par la loi du 4 juillet 2001 complétée par le décret d'application du 3 mai 2002, sur la base des recommandations de l'Agence Nationale d'Accréditation et d'Evaluation en Santé. Cette loi intègre les médecins libéraux dans cette démarche. Projetant de démarrer un projet concret au centre d'IVG d'Angers, nous avons convié les médecins du Maine et Loire concernés (gynécologues obstétriciens, gynécologues médicaux et médecins généralistes) à une réunion autour de ce thème : une vingtaine se sont dits intéressés. Nous avons également interrogé 103 femmes de février à juin 2002 dans les conditions (l'une IYG médicamenteuse à l'hôpital: 36 auraient choisi la méthode en ambulatoire si elle leur avait été proposée. Leurs principales raisons étaient la longueur ressentie de l'hospitalisation (4 heures en moyenne) et le besoin d'intimité. Les autres étaient angoissées, s'estimant plus en sécurité à l'hôpital. Malgré ces éléments positifs, la loi reste incomplète concernant notamment : le financement, la formation des médecins, la délivrance de la mifépristone. De plus, elle reste très restrictive quant à la participation des médecins généralistes. Idéalement, une organisation en réseau de santé est souhaitable mais actuellement trop lourde à mettre en place. Au terme de notre réflexion, nous pensons proposer l'IVG médicamenteuse en ambulatoire, à petite échelle, avec des médecins motivés avant d'étendre cette expérience par la suite en y intégrant des actions de prévention dans le domaine de l'orthogénie.[-]