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Documents VACCIN 53 résultats

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- n° 127 - pp. 32-37
Cote : P 248
Près de 2 ans après la survenue d'une épidémie de Mpox (Monkeypox ou variole du singe) dans de nombreux pays du monde, y compris la France, où en sommes-nous ? Le Mpox peut-il revenir chez nous à l'approche des Jeux Olympiques ? Sommes-nous en capacité de vaciner la population ? Quels sont les risques pour les personnes vivant avec le VIH ? Pour répondre à ces questions Remaides a rencontré le Pr Jean-Daniel Lelièvre.

INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE ; réduction des risques ; VIH/ SIDA ; FRANCE ; EPIDEMIOLOGIE ; VACCIN ; RISQUE SEXUEL

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Cote : B 0702 IST
Brochure sur les IST éditée par Santé publique France. Reconnaitre une IST, comment s'en protéger, comment la dépister. Les différents types d'IST, celles causées par des bactéries (infection à chlamydia, à gonocoque, à mycoplasme et syphilis), un parasite ( la trichomonase) , des virus (l'infection à papillomavirus, l'hépatite B, l'herpès génital, l'infection à VIH). guide complet d'information sur les IST.

OUTIL PEDAGOGIQUE ; PREVENTION ; INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE ; VIH/ SIDA ; MODE DE TRANSMISSION DU VIH ; TRANSMISSION SEXUELLE DU VIH ; DEPISTAGE ; PRESERVATIF EXTERNE ; VACCIN

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- n° 120 - p. 26-31
Cote : P 248
En mai dernier déboule une nouvelle épidémie : le Monkeypox ou variole du singe. Rapidement les cas se développent en Europe, dont la France. Après celle de la Covid-19, cette nouvelle épidémie suscite interrogations et craintes, notamment parce qu'elle ravive, par certains côtés, les souvenirs des débuts de la pandémie de VIH. Tout spécialement parce que la très grande majorité des cas surviennent chez les hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes (HSH). Que se passe-t-il aujourd'hui pour les PVVIH exposées ou infectées par le Monkeypox ? Quelle sont les recommandations de réduction des risques et de vaccinations ? [-]
En mai dernier déboule une nouvelle épidémie : le Monkeypox ou variole du singe. Rapidement les cas se développent en Europe, dont la France. Après celle de la Covid-19, cette nouvelle épidémie suscite interrogations et craintes, notamment parce qu'elle ravive, par certains côtés, les souvenirs des débuts de la pandémie de VIH. Tout spécialement parce que la très grande majorité des cas surviennent chez les hommes ayant des relations sexuelles ...[+]

VIH/ SIDA ; RISQUE ; PREVENTION ; VACCIN

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vol. 41 - n° 450 - p. 272-277
Cote : P 174
Les infections à certains papillomavirus humains (HPV) sont sexuellement transmissibles. Le plus souvent asymptomatiques, elles guérissent spontanément dans la majorité des cas [..] Début 2021, avec un recul d'une quinzaine d'années, l'efficacité des vaccins papillomavirus en prévention des cancers du col de l'utérus est très probable. Chez les hommes, le principal risque de cancer lié aux HPV est le cancer de l'anus chez ceux qui ont des rapports sexuels avec des hommes. En France, la vaccination papillomavirus est recommandée chez les hommes âgés de moins de 27 ans ayant des rapports sexuels avec des hommes, et chez tous les hommes âgés de 11 à 19 ans.[-]
Les infections à certains papillomavirus humains (HPV) sont sexuellement transmissibles. Le plus souvent asymptomatiques, elles guérissent spontanément dans la majorité des cas [..] Début 2021, avec un recul d'une quinzaine d'années, l'efficacité des vaccins papillomavirus en prévention des cancers du col de l'utérus est très probable. Chez les hommes, le principal risque de cancer lié aux HPV est le cancer de l'anus chez ceux qui ont des ...[+]

HPV ; INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE ; HOMME ; PREVENTION ; CANCER ; VACCIN

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- n° 413 - 167-170
Cote : P 174
Un vaccin papillomavirus contenant 9 génotypes de virus (Gardasil 9°) a été autorisé dans l'Union européenne. En France, la firme qui le commercialise prévoit qu'il remplace le vaccin contenant 4 génotypes (Gardasil°). un essai chez environ 14000 femmes âgées de 16 à 26 ans a comparé ces deux vaccins. Le vaccin contenant 9 génotypes a semblé réduire le nombre de diagnostics de dysplasie de heur grade du col de l'utérus due à un des génotypes supplémentaires : une quinzaine de cas en mois par ans pour 100000 femmes vaccinées, en l'absence d'infection par un de ces génotypes avant la vaccination. Le vaccin contenant 9 génotypes expose à un surcroît de réactions au site d'infection, parfois sévères, ce qui risque d'accentuer les réticences vis-à-vis de cette vaccination.[-]
Un vaccin papillomavirus contenant 9 génotypes de virus (Gardasil 9°) a été autorisé dans l'Union européenne. En France, la firme qui le commercialise prévoit qu'il remplace le vaccin contenant 4 génotypes (Gardasil°). un essai chez environ 14000 femmes âgées de 16 à 26 ans a comparé ces deux vaccins. Le vaccin contenant 9 génotypes a semblé réduire le nombre de diagnostics de dysplasie de heur grade du col de l'utérus due à un des génotypes ...[+]

CANCER DU COL DE L'UTERUS ; VACCIN ; DOULEUR ; FRANCE

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vol. 0 - n° 275 - p. 19-29
Cote : P 174
Les vaccins papillomavirus diminuent en partie la fréquence des lésions dites précancéreuses du col de l'utérus, sans effets indésirables disproportionnés. Cette baisse n'est que partielle et on ne sait pas encore ce qu'il en sera en termes de cancers invasifs. Le dépistage par frottis du col reste le principal outil de réduction de l'incidence des cancers invasifs du col de l'utérus.

VACCIN ; CANCER DU COL DE L'UTERUS ; RISQUE ; STATISTIQUE ; EFFET SECONDAIRE

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- 461 p.
Cote : 8312 LES
Le sida a eu 30 ans en 2011. Mais le sida a changé. L'épidémie a changé. Depuis son évocation dans les journaux en 1981, la pandémie que l'on a commencé par appeler "le cancer gay" est devenue l'objet de tous les fantasmes, de toutes les craintes mais aussi de toutes les luttes de par le monde, qu'elles soient homo- ou hétérosexuelles, scientifiques, amoureuses ou militantes. Il est déjà difficile de réaliser que trois décennies se sont écoulées depuis les premiers cas d'une maladie alors inconnue. Malgré les nouveaux éléments à son sujet, de nombreux clichés subsistent, parfois même parmi ceux qui sont les mieux informés, ceux qui sont directement concernés. En 30 ans, le sida a su provoquer une révolution médicale sans précédent dans les relations entre la recherche et les malades, entre les médecins et les patients, entre les médias et le bénévolat associatif. Il est temps de raconter son histoire. Ses histoires. À travers leurs témoignages croisés, les auteurs questionnent notre responsabilité, individuelle et étatique, et nous invitent à nous servir au mieux des nouveaux outils mis à notre disposition pour enrayer la maladie.[-]
Le sida a eu 30 ans en 2011. Mais le sida a changé. L'épidémie a changé. Depuis son évocation dans les journaux en 1981, la pandémie que l'on a commencé par appeler "le cancer gay" est devenue l'objet de tous les fantasmes, de toutes les craintes mais aussi de toutes les luttes de par le monde, qu'elles soient homo- ou hétérosexuelles, scientifiques, amoureuses ou militantes. Il est déjà difficile de réaliser que trois décennies se sont écoulées ...[+]

VIH/ SIDA ; EPIDEMIOLOGIE ; HISTOIRE ; SEROPOSITIVITE ; MALADIE ; TRAITEMENT MEDICAL ; PREVENTION ; DISCRIMINATION ; AFRIQUE ; MEDICAMENT ; VACCIN ; STÉRÉOTYPE ; RECHERCHE MEDICALE ; SEXUALITE ; RELATION SOIGNANT-SOIGNE ; TEMOIGNAGE ; TRANSMISSION SEXUELLE DU VIH ; MODE DE TRANSMISSION DU VIH ; ANNÉES 80 ; ANNÉES 90 ; XXIe SIECLE

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VIH, 30 ans après. | Biofutur 12/2011

Ouvrage

- 63 p.
Cote : 830 DEL
- Défense ou tolérance ? Stratégies d'adaptation aux rétrovirus
- Soigner l'infection à VIH
- Bientôt un vaccin ?
- Cibler les réservoirs
- Vieillir avec le VIH et les trithérapies
- Un casse-tête nommé dépistage
- Recherche dans les pays du Sud : quelles priorités

VIH/ SIDA ; VACCIN ; TRAITEMENT ; HISTOIRE ; EPIDEMIOLOGIE ; MALADIE ; BIOLOGIE ; MEDECINE

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- n° 143 - p. 24-28
Cote : P 270
En septembre dernier, dans le cadre de la 11ème rencontre internationale Femmes et Santé, des docteures, des académiciennes, des membres d'associations féministes du monde entier se sont donné rendez-vous à Bruxelles. La revendication d'une approche globale et féministe de la santé passe par la défense des droits sexuels et reproductifs, par la reconnaissance du savoir des femmes relatif à leur propre corps, mais aussi par le refus de la surmédicalisation de leur vie.[-]
En septembre dernier, dans le cadre de la 11ème rencontre internationale Femmes et Santé, des docteures, des académiciennes, des membres d'associations féministes du monde entier se sont donné rendez-vous à Bruxelles. La revendication d'une approche globale et féministe de la santé passe par la défense des droits sexuels et reproductifs, par la reconnaissance du savoir des femmes relatif à leur propre corps, mais aussi par le refus de la ...[+]

SANTE SEXUELLE ET REPRODUCTIVE ; SANTE ; LABORATOIRE PHARMACEUTIQUE ; IMAGE DU CORPS ; HPV ; VACCIN ; SANTE MENTALE ; POUVOIR MEDICAL ; FEMME

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Human papillomavirus. | Reproductive Health Matters 05/2011

Article (SANTE SEXUELLE)

vol. 19 - n° 37 - p. 214-216
Cote : P 370

HPV ; VACCIN

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Malades de tout. | Gazette des Femmes (La) 05-06/2011

Article (SANTE SEXUELLE)

vol. 33 - n° 1 - p.10-24
Cote : P 376
Après l'ère de l'information, de la consommation de masse, bienvenue dans l'ère de la surmédicalisation!Déjà elle a vu plusieurs processus physiologiques naturels intronisés au temple de la renommée médicale. Baisse de moral et irritabilité après l'accouchement? maladie. Changement liés à la ménopause? maladie. Diminution de la performance sexuelle? maladie. Mais de plus en plus de spécialistes disent stop! Paroles de quelques uns d'entre eux.

SANTE DES FEMMES ; CANCER DU COL DE L'UTERUS ; CANCER DU SEIN ; POST PARTUM ; HPV ; VACCIN ; MENOPAUSE

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- n° 1 - p. 2-5
Cote : P 231
L'année 2010 a été marquée par les résultats de l'essai CAPRISA, qui démontrent que la mise au point d'un microbicide fiable et efficace est possible dans des délais raisonnables.Huit mois après leur annonce, tour d'horizon des perspectives actuelles.

MICROBICIDE ; RECHERCHE MEDICALE ; VIH/ SIDA ; VACCIN

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vol. 27 - n° 2 - Entier
Cote : P 384
Le cancer du col de l'utérus tue 270 000 femmes chaque année et plus de 80% d'entre elles dans les pays en voie de développement. Les plus haut taux de mortalité sont en Afrique Sub-saharienne, Amérique latine et caraïbes et Asie du sud et sud-est. Les expériences de vaccination contre le papillomavirus humain ont donné des résultats encourageants.

CANCER DU COL DE L'UTERUS ; VACCIN ; STATISTIQUE ; MONDE ; HPV

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- n° 215 - p. 11-12
Cote : P 217
L'étude de vaccination RV144 réalisée sur trois ans en Thaïlande a été présentée et actualisée lors de la CROI. Si l'effet protecteur observé contre l'infection par le VIH est encourageant, il reste néanmoins modeste. Mais ces résultats ouvrent la voie au développement de nouvelles études plus poussée en vue d'améliorer l'efficaciré d'un tel protocole de vaccination.

VIH/ SIDA ; TRAITEMENT MEDICAL ; VACCIN ; SANTE ; INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE

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- n° 317
- p. 191
Cote : P 174
Comme en 2008, il n'est pas apparu d'effet indésirable grave inconnu.

VACCIN ; HPV ; EFFET NEFASTE ; EFFET SECONDAIRE

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- n° 121 - p. 10-11
Cote : P 270
Quelle est la politique de santé sur cette question et quelles sont les conséquences pour les femmes?...

CANCER DU COL DE L'UTERUS ; VACCIN ; BELGIQUE

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2y

Cote : M 0051 ENF
Kit comprenant des dépliants météo perso, des dépliants "Des mots pour le dire", un questionnaire "pré consultation", un questionnaire "amorce du dialogue", 10 exemplaires de marque pages, 10 exemplaires du carnet individuel de l'adolescent, 10 exemplaires de la brochure "Questions d'ados", 10 exemplaires de la brochure "Comment ça va ? ".

SANTE ; ADOLESCENCE ; PREVENTION ; SEXUALITE ; EDUCATION A LA SEXUALITE ; ADDICTION ; IMAGE DU CORPS ; ALIMENTATION ; INTEGRATION SOCIALE ; INSERTION PROFESSIONNELLE ; SPORT ; EDUCATION ; CONTRACEPTION ; VACCIN ; SCOLARITÉ ; DEPRESSION NERVEUSE ; ALCOOL ; INTERNET ; JEU ; MEDICAMENT ; MALADIE ; GROSSESSE NON DÉSIRÉE ; VIH/ SIDA ; INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE ; OUTIL PEDAGOGIQUE

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- n° 29 - p. 313-324
Cote : P 195
Nous présentons ici une synthèse des résultats des études EDiTH récemment publiées et analysant la distribution des génotypes de papillomavirus humains (HPV) dans les cancers invasifs, les néoplasies intra-épithéliales de haut grade (CIN2/3) et les lésions de bas grade du col de l'utérus (LSIL), ainsi que dans les condylomes acuminés externes (CAE) en France.Chacune de ces études a porté sur environ 400 à 500 échantillons, avec une prévalence globale des HPV proche de 98 %. Dans les cancers invasifset les CIN2/3, l'HPV 16 était le plus prévalent (73 % et 62 %, respectivement), suivi de l'HPV 18 (19 %) pour les cancers et de l'HPV 31 (15 %) pour les CIN2/3. Dans les LSIL, l'HPV 66 (25 %) et l'HPV 16 (21 %) étaientles plus fréquents, alors que dans les CAE, l'HPV 6 (68 %) et l'HPV 11 (16 %) étaient les plus fréquemment identifiés. Les génotypes 16 et 18 étaient principalement observés dans les cancers (82 %) et dans les lésionsprécurseurs (64 % dans les CIN2/3 et 28 % dans les LSIL), tandis que les génotypes 6 et 11 étaient essentiellement associés aux condylomes (83 %). En France, en considérant une couverture vaccinale hypothétique de 100 %, un vaccin quadrivalent dirigé contre les HPV 6, 11, 16 et 18 pourrait prévenir de 71 % à 82 % des cancers invasifs, de 45 % à 64 % des CIN2/3,de 14 % à 34 % des LSIL, et de 63 % à 88 % des condylomes.[-]
Nous présentons ici une synthèse des résultats des études EDiTH récemment publiées et analysant la distribution des génotypes de papillomavirus humains (HPV) dans les cancers invasifs, les néoplasies intra-épithéliales de haut grade (CIN2/3) et les lésions de bas grade du col de l'utérus (LSIL), ainsi que dans les condylomes acuminés externes (CAE) en France.Chacune de ces études a porté sur environ 400 à 500 échantillons, avec une prévalence ...[+]

HPV ; INFECTION SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE ; CANCER ; CANCER DU COL DE L'UTERUS ; EPIDEMIOLOGIE ; STATISTIQUE ; DEPISTAGE ; TRAITEMENT MEDICAL ; FRANCE ; VACCIN

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