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Documents GROSSOPHOBIE 13 résultats

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Dix questions sur la grossophobie MARX Daria | Libertalia juin 2024

Ouvrage (VIOLENCES ET DISCRIMINATIONS)

- 183 p.
Cote : 706 MAR
La militante féministe revient sur les origines de la discrimination des personnes grosses, les mouvements de lutte qui la combattent, l'illusion de la révolution body positive et les grandes figures de l'anti-grossophobie. Elle aborde également la question médicale à travers l'accès aux soins et le business de l'amaigrissement.

GROSSOPHOBIE ; DISCRIMINATION ; SANTE ; MILITANTISME ; ASPECT MEDICAL ; VIOLENCE PSYCHOLOGIQUE ; VIOLENCE SEXISTE

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- 4 p.
Cote : B 0723 VIO
"4 pages" ou synthèse d'un atelier lors des journées de regroupement du programme Genre et santé sexuelle à Sète en 2023.

GROSSOPHOBIE

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Dossier : Avorter. Une lutte sans fin | La Déferlante mars 2024 H

Revue (FEMINISMES)

- n° 13 - 144 p.
Cote : P 293
En appelant à un « réarmement démographique », le président de la République a réactivé l'obsession d'une politique nataliste chère à l'extrême droite et qui va à rebours de décennies de combats féministes pour le droit à disposer de son corps. À l'heure où, dans nombreux pays, le recours à l'IVG est à nouveau entravé, voire interdit, nous disons, avec ce dossier, à quel point le combat pour l'avortement et les droits reproductifs reste une lutte fondamentale. A lire aussi dans ce numéro : une grande rencontre entre la chanteuse Aloïse Sauvage et l'écrivaine Fatima Daas, un reportage à Gaza auprès de journalistes palestiniennes, une BD inédite, un portrait de la poétesse queer décoloniale Gloria Anzaldúa.[-]
En appelant à un « réarmement démographique », le président de la République a réactivé l'obsession d'une politique nataliste chère à l'extrême droite et qui va à rebours de décennies de combats féministes pour le droit à disposer de son corps. À l'heure où, dans nombreux pays, le recours à l'IVG est à nouveau entravé, voire interdit, nous disons, avec ce dossier, à quel point le combat pour l'avortement et les droits reproductifs reste une ...[+]

LUTTE FEMINISTE ; AVORTEMENT ; POLOGNE ; MLAC ; GROSSOPHOBIE ; LESBIANISME ; TRANSPHOBIE ; VIOLENCE ; ART & CULTURE ; IMAGE DE LA FEMME DANS L'ART ; CINEMA ; METHODE D'AVORTEMENT ; STATISTIQUE ; AVORTEMENT MEDICAMENTEUX ; METHODE ABORTIVE PAR ASPIRATION ; INTERSECTIONNALITE ; FEMME D'ORIGINE AFRICAINE ; LGBTQIA+ ; VIOLENCE AU SEIN DU COUPLE ; SEXISME

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- 282 p.
Cote : 216 MAL
Qui a volé l'appétit des femmes ?
On date souvent les troubles alimentaires féminins des années 1970, quand apparaît le diktat de la minceur, mais l'injonction, pour les femmes, à s'entourer de nourriture sans manger est bien plus ancienne. Pandore doit cacher son « estomac de chienne » dans un corps parfait, Ève est condamnée à se soumettre à tous les désirs masculins pour avoir croqué la pomme, au XVIIe siècle, les premiers cafés parisiens servent à manger mais les femmes en sont exclues… Les femmes sont partout présentées comme des ménagères ou des gloutonnes, tandis que les hommes sont des chefs ou des gourmets.
Dans l'histoire personnelle de Lauren Malka, le rapport à la gourmandise est central. C'est un plaisir, un lien à la convivialité, aux origines, une créativité des parfums et des couleurs… mais aussi un tourment, une obsession. En se mettant à l'écoute de femmes d'âges et de milieux différents, et mêmes d'autres époques, elle s'est rendu compte que son histoire était partagée par beaucoup.[-]
Qui a volé l'appétit des femmes ?
On date souvent les troubles alimentaires féminins des années 1970, quand apparaît le diktat de la minceur, mais l'injonction, pour les femmes, à s'entourer de nourriture sans manger est bien plus ancienne. Pandore doit cacher son « estomac de chienne » dans un corps parfait, Ève est condamnée à se soumettre à tous les désirs masculins pour avoir croqué la pomme, au XVIIe siècle, les premiers cafés parisiens ...[+]

FEMME ; IMAGE DU CORPS ; CORPS ; ALIMENTATION ; BOULIMIE ; ANOREXIE ; GROSSOPHOBIE ; HISTOIRE

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Manger ou être mangée ? Dossier | Axelle Mag juillet - août 2023 H

Revue (FEMINISMES)

- n° 253 - 70 p.
Cote : P 270
En voilà une drôle de question ! Peut-on vraiment choisir entre le verbe “manger”, actif, et sa forme passive, “être mangée” ? Dans le dossier de notre n° 253, on trouve à la fois la joie et la souffrance de manger : manger pour vivre et survivre, manger pour combler, refuser de manger. Et manger pour partager, pour transmettre, pour le plaisir, pour prendre soin de soi, des autres, de la terre. Le revers de l'assiette, c'est “être mangée”. Notamment par le système capitaliste, à travers la valorisation d'idéaux féminins inatteignables ou encore via l'exploitation des travailleurs/euses agricoles, dévore les corps et les âmes. Et lorsque la nourriture se fait plus rare, ce sont les femmes qui se privent…[-]
En voilà une drôle de question ! Peut-on vraiment choisir entre le verbe “manger”, actif, et sa forme passive, “être mangée” ? Dans le dossier de notre n° 253, on trouve à la fois la joie et la souffrance de manger : manger pour vivre et survivre, manger pour combler, refuser de manger. Et manger pour partager, pour transmettre, pour le plaisir, pour prendre soin de soi, des autres, de la terre. Le revers de l'assiette, c'est “être mangée”. ...[+]

GROSSOPHOBIE ; IMAGE DU CORPS ; ECOFEMINISME ; SANTE ; TROUBLE DU COMPORTEMENT ; ASPECT SOCIO-CULTUREL ; ASPECT SOCIO-ECONOMIQUE ; AGRICULTURE

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L'Amour de nous-mêmes NOMENI Erika | Hors d'atteinte février 2023

Ouvrage (FEMINISMES, SOCIETE)

- 157 p.
Cote : R NOM
L'amour de nous-mêmes prend la forme d'un roman épistolaire. Dix mails sont adressés à une énigmatique Sujja, une confidente dont nous ne lirons pas les réponses. Dix étapes d'un questionnement sur les prismes au travers desquels Aloé, signataire de ce qui pourrait tout autant relever de bouteilles lancées à la mer, tente de se comprendre et de s'accepter. Au fil des confidences sur ses quêtes identitaires et amoureuses, et des dérives qu'elles entrainent, Aloé se profile avec l'intelligence – et parfois la maladresse - des êtres hypersensibles hantés par le désir viscéral d'être vrais, authentiquement eux-mêmes, de se voir et d'être vus avec justesse, pour ce qu'ils sont. [-]
L'amour de nous-mêmes prend la forme d'un roman épistolaire. Dix mails sont adressés à une énigmatique Sujja, une confidente dont nous ne lirons pas les réponses. Dix étapes d'un questionnement sur les prismes au travers desquels Aloé, signataire de ce qui pourrait tout autant relever de bouteilles lancées à la mer, tente de se comprendre et de s'accepter. Au fil des confidences sur ses quêtes identitaires et amoureuses, et des dérives qu'elles ...[+]

ESTIME DE SOI ; FEMME D'ORIGINE AFRICAINE ; POIDS ; VIOLENCE ; RELATION AMICALE ; QUEER ; GROSSOPHOBIE ; RACISME ; HOMOPHOBIE ; LGBTQIA+ ; INTERSECTIONNALITE

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Grossophobie et image corporelle : S'outiller pour mieux intervenir | TQSA 2023 H

Matériel pédagogique (EGALITES / INEGALITES)


Cote : M 0337 EGA w
L'élaboration de cette boîte à outils qui vise à favoriser le développement d'une image corporelle positive et à prévenir la grossophobie a été rendue possible grâce à la collaboration des groupes de travail Saine alimentation pendant l'enfance et Normes sociales liées à la saine alimentation de la Table québécoise sur la saine alimentation (TQSA). Elle a été développée par ÉquiLibre et l'Association pour la santé publique du Québec.

GROSSOPHOBIE ; DISCRIMINATION ; IMAGE DU CORPS

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Je suis votre pire cauchemar KIYEMIS | Albin Michel novembre 2022

Ouvrage (FEMINISMES, EGALITES / INEGALITES)

- 164 p.
Cote : 706 KIY
Une réflexion sur l'acceptation de tous les corps malgré les diktats de la société et la haine de soi. L'auteure propose de se diriger vers un monde émancipé où chaque individu aurait une place tout en conservant sa singularité. Les mécanismes d'oppression sont envisagés dans une perspective émancipatrice convoquant l'afroféminisme, le body positive, l'intime et la poésie.

FEMINISME ; IMAGE DU CORPS ; PERSONNE D'ORIGINE AFRICAINE ; NORME ; GROSSOPHOBIE ; DISCRIMINATION ; INTERSECTIONNALITE ; EGALITE

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- 272 p.
Cote : 706 CAR
Depuis les années 1990, des associations, comme Allegro Fortissimo et plus récemment Gras politique, ainsi que des militantes et autrices comme Gabrielle Deydier, ont imposé un nouveau terme pour parler des discriminations liées au poids : la grossophobie. La tendance « body positive », résultat de ces mobilisations contre les normes esthétiques et pondérales dominantes, a renouvelé les problématiques propres aux mouvements féministes et queer, mettant à nouveau la question du corps au cœur des revendication des militantes dans le monde entier.
Pourtant, les réseaux sociaux demeurent saturés d'« humour » grossophobe et la tyrannie de la minceur continue de sévir, générant mal-être, troubles du comportement alimentaire ou encore pratiques d'autocensure. Plus grave encore, les études chiffrées sur la grossophobie montrent qu'au-delà d'un certain poids les discriminations se systématisent. Elles ont lieu à l'embauche, au travail, mais aussi sur les applications de rencontre, dans les salles de sport, chez le médecin et même dans l'intimité, avec la famille.
Avec cet ouvrage, Solenne Carof, signe une des premières études sociologiques sur la grossophobie en France. Que vivent les personnes très corpulentes dans une société comme la nôtre ? Que révèle le stigmate de gros ou de grosse des normes qui pèsent différemment sur les hommes et sur les femmes ? Quelles conséquences cette stigmatisation a-t-elle sur les personnes concernées ? Au fil de son enquête, l'autrice dévoile les rapports de pouvoir qui se nichent dans la question du poids et structurent les hiérarchies propres à notre société.
Une étude décisive pour mettre en évidence l'importance d'une discrimination encore peu condamnée, tant socialement que juridiquement.[-]
Depuis les années 1990, des associations, comme Allegro Fortissimo et plus récemment Gras politique, ainsi que des militantes et autrices comme Gabrielle Deydier, ont imposé un nouveau terme pour parler des discriminations liées au poids : la grossophobie. La tendance « body positive », résultat de ces mobilisations contre les normes esthétiques et pondérales dominantes, a renouvelé les problématiques propres aux mouvements féministes et queer, ...[+]

DISCRIMINATION ; GROSSOPHOBIE ; VIOLENCE ; IMAGE DU CORPS ; STIGMATISATION ; SOCIOLOGIE

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Violences faites aux femmes. Dossier | Femmes Plurielles septembre 2020 H

Revue (VIOLENCES ET DISCRIMINATIONS)

- n° 71 - 31 p.
Cote : P 280 w
Rubans blancs arborés fièrement, collages dans les rues pour dénoncer les féminicides, hashtags viraux comme #MeToo ou #BalanceTonPorc, mains peinturlurées en mauves, multitude de comptes et pages spécifiques sur les réseaux sociaux, etc. De plus en plus de voix citoyennes s'élèvent pour dénoncer ce qui a été tu pendant si longtemps : la diversité des violences faites aux femmes. Une prise de conscience collective s'opère actuellement et, heureusement, de nombreux médias s'en font l'écho. Les choses bougent. Mais peut-on pour autant dire que le tabou est levé ? Non. Seule une réponse structurelle peut réellement changer les choses et faire évoluer les mentalités. Or, même si des initiatives se mettent en place, les réponses politiques s'avèrent insuffisantes face à l'ampleur du phénomène. Car les violences faites aux femmes ont lieu partout et tout le temps. Dans l'espace public, à la maison, au travail, en ligne. Elles sont systémiques, c'est-à-dire qu'elles résultent d'un sexisme profondément ancré dans nos sociétés. Ce sont d'ailleurs majoritairement les hommes qui les commettent. C'est pourquoi, dans ce numéro, nous avons fait le choix de nepas utiliser l'écriture inclusive lorsque nous parlons « d'auteurs » de violences, afin de visibiliser ce système de domination sexiste. Au fil de ces pages, nous vous proposons d'en savoir plus sur ces violences qui varient tant de par leur forme (sexuelles, verbales, physiques, institutionnelles, etc.) que du contexte (confinement, migrations, etc.). Nous vous souhaitons bonne lecture et vous donnons d'ores et déjà rendez-vous en novembre, comme chaque année, pour dire stop aux violences faites aux femmes. [-]
Rubans blancs arborés fièrement, collages dans les rues pour dénoncer les féminicides, hashtags viraux comme #MeToo ou #BalanceTonPorc, mains peinturlurées en mauves, multitude de comptes et pages spécifiques sur les réseaux sociaux, etc. De plus en plus de voix citoyennes s'élèvent pour dénoncer ce qui a été tu pendant si longtemps : la diversité des violences faites aux femmes. Une prise de conscience collective s'opère actuellement et, ...[+]

VIOLENCES FAITES AUX FEMMES ; FEMINICIDE ; CYBERVIOLENCE ; VIOLENCE SEXUELLE ; SEXISME ; VIOLENCE AU SEIN DU COUPLE ; GROSSOPHOBIE ; FEMME MIGRANTE

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Hunger : une histoire de mon corps. GAY Roxane | Points ; Denoël 2019

Ouvrage (FEMINISMES)


Cote : B GAY
À l'âge de douze ans, j'ai été violée. Alors, je me suis mise à manger pour m'enlaidir et repousser les hommes. Peu à peu, je me suis enfoncée dans une interminable routine : manger pour me protéger, me sentir seule, manger pour me réconforter, me détester, manger encore. J'ai longtemps lutté pour exister dans un monde conçu pour les minces. Jusqu'au jour où j'ai décidé de me réconcilier avec mon corps.

CORPS ; IMAGE DU CORPS ; GROSSOPHOBIE ; VIOLENCE SEXUELLE ; ALIMENTATION ; ETATS-UNIS

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