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Documents LE PAPE Marie-Clémence 4 résultats

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- 164 p.
Cote : 309 LEP
Malgré la part croissante des familles monoparentales dans la population française, elles ne sont toujours pas considérées comme des familles « comme les autres ». Issues pour partie du XIXe siècle, les représentations archétypales demeurent, largement nourries par des figures antagonistes : « veuve éplorée » versus « veuve joyeuse », pauvre fille abandonnée versus « célibattante », « mère-courage » versus « mère assistée »... Des stigmates persistants structurent ainsi les représentations sociales et façonnent l'expérience qu'en font concrètement les parents en situation de monoparentalité - en grande majorité des femmes. Ces représentations stéréotypées, nourries d'idées reçues que l'ouvrage s'attache à déconstruire, trouvent également leur traduction dans des politiques publiques qui peinent à réduire les inégalités auxquelles ces pères, ces mères et leurs enfants sont encore aujourd'hui exposés.[-]
Malgré la part croissante des familles monoparentales dans la population française, elles ne sont toujours pas considérées comme des familles « comme les autres ». Issues pour partie du XIXe siècle, les représentations archétypales demeurent, largement nourries par des figures antagonistes : « veuve éplorée » versus « veuve joyeuse », pauvre fille abandonnée versus « célibattante », « mère-courage » versus « mère assistée »... Des stigmates ...[+]

FAMILLE MONOPARENTALE ; STÉRÉOTYPE ; SOCIOLOGIE ; FRANCE ; PARENTALITE ; POLITIQUE PUBLIQUE ; POLITIQUE FAMILIALE

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vol. 78 - n° 3-4 - pp. 467-500
Cote : P 18
En France, l'approche statistique conventionnelle met l'accent sur le critère de la résidence principale pour définir le statut de beau-parent. Ce choix invisibilise la situation de nombreuses femmes qui, sans avoir les enfants de leur conjoint à temps plein chez elles, sont pourtant impliquées dans leur prise en charge. En s'appuyant sur l'exploitation de plusieurs enquêtes, cet article interroge ces différences de genre, en analysant les profils de beaux-pères et de belles-mères selon le temps passé dans le même logement avec les beaux-enfants et ce qui est fait durant ce temps partagé (répartition des tâches parentales). Il montre que le temps passé par les enfants au domicile ne correspond pas à un profil social particulier de beaux-pères (à l'exception des cas de résidence alternée) tandis que celui des belles-mères est, a contrario, très fortement distinct selon le temps qu'elles passent avec leurs beaux-enfants. Quand ces derniers sont présents au quotidien, les belles-mères prennent davantage en charge les tâches parentales contraintes tandis que les beaux-pères y sont moins impliqués. La présence des enfants n'a donc pas les mêmes effets pour les beaux-pères et pour les belles-mères, révélant ainsi les inégalités sociales et de genre qui se jouent dans les recompositions familiales.[-]
En France, l'approche statistique conventionnelle met l'accent sur le critère de la résidence principale pour définir le statut de beau-parent. Ce choix invisibilise la situation de nombreuses femmes qui, sans avoir les enfants de leur conjoint à temps plein chez elles, sont pourtant impliquées dans leur prise en charge. En s'appuyant sur l'exploitation de plusieurs enquêtes, cet article interroge ces différences de genre, en analysant les ...[+]

FAMILLE RECOMPOSEE ; FRANCE ; DEMOGRAPHIE ; FEMME ; RELATIONS PARENT-ENFANT ; VIE FAMILIALE ET RELATIONNELLE ; CHARGE MENTALE ; PARENTALITE ; EDUCATION PARENTALE

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- 398 p.
Cote : 410 MOD
Le numéro d'avril-juin 2017 de la Revue française des affaires sociales comprend tout d'abord un dossier très approfondi sur « Les modes d'accueil des jeunes enfants : des politiques publiques à l'arrangement quotidien des familles ». Trois éléments de cadrage aideront le•la lect•eur•rice à mieux connaître d'une part les enquêtes de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) relatives aux modes de garde et d'accueil des jeunes enfants et à la protection maternelle et infantile, d'autre part le fichier localisé des utilisateurs d'établissements d'accueil du jeune enfant de la Caisse nationale des allocations familiales (CNAF). Ils sont suivis de douze articles répartis en trois axes : « La déclinaison des politiques nationales en dispositifs locaux » ; « Articuler vie familiale et vie professionnelle : des aspirations des parents aux arrangements quotidiens » et « Confier son enfant, accueillir des enfants : les professionnel•le•s face aux parents ». Cinq personnalités livrent ensuite leur point de vue : Bertrand Fragonard, Claude Martin, Bertrand Geay, Anne-Lise Ulmann et Sylviane Giampino. Le dossier se clôt sur le compte-rendu du colloque « Petite enfance : regards croisés sur les modes d'accueil des jeunes enfants » organisé par la DREES le 15 novembre 2016 et sur le rappel de l'appel à contribution.[-]
Le numéro d'avril-juin 2017 de la Revue française des affaires sociales comprend tout d'abord un dossier très approfondi sur « Les modes d'accueil des jeunes enfants : des politiques publiques à l'arrangement quotidien des familles ». Trois éléments de cadrage aideront le•la lect•eur•rice à mieux connaître d'une part les enquêtes de la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques (DREES) relatives aux modes de garde ...[+]

MODE DE GARDE ; PETITE ENFANCE ; POLITIQUE PUBLIQUE ; PROTECTION MATERNELLE ET INFANTILE ; STRUCTURE D'ACCUEIL ; ARTICULATION VIE FAMILIALE ET PROFESSIONNELLE

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- n° 154 - 132 p.
Cote : P 87
Le travail parental est entendu ici comme le travail des adultes-parents en charge d'enfant(s). Considérable en termes de tâches pratiques (occupation) et de charge mentale (préoccupation, disponibilité), engageant la définition de soi comme parent, mère ou père, et la perpétuation " réussie " de soi, il est loin de se réduire à une activité matérielle vite dégagée et vide de sens. Ce numéro d'informations sociales vise, en premier lieu, à dresser les frontières et les contenus de ce travail parental. Il porte également un regard critique sur les discours sociaux normatifs et professionnellement segmentés qui entendent cadrer les pratiques parentales et " apprendre aux parents à être parents ". Or le métier de parent, tel qu'il s'exprime dans le vécu, consisterait bien moins à " s'éduquer aux bonnes pratiques " qu'à s'autoriser, en amont, à effectuer un certain nombre de choix. Dans la dernière partie du numéro, on s'intéresse plus spécifiquement aux situations qui conduisent à innover dans la manière d'appréhender le travail parental, comme la monoparentalité au masculin ou encore les familles homoparentales.[-]
Le travail parental est entendu ici comme le travail des adultes-parents en charge d'enfant(s). Considérable en termes de tâches pratiques (occupation) et de charge mentale (préoccupation, disponibilité), engageant la définition de soi comme parent, mère ou père, et la perpétuation " réussie " de soi, il est loin de se réduire à une activité matérielle vite dégagée et vide de sens. Ce numéro d'informations sociales vise, en premier lieu, à ...[+]

TEMPS PARENTAL ; ARTICULATION VIE FAMILIALE ET PROFESSIONNELLE ; RESPONSABILITE ; FAMILLE ; ENFANT ; TRAVAIL ; PARENTALITE ; ASSISTANTE MATERNELLE ; MÉTIER ; EDUCATION PARENTALE ; RELATIONS PARENT-ENFANT ; FEMME ; MÈRE ; PERSONNE ÂGEE ; GRANDS-PARENTS ; TRAVAIL DOMESTIQUE ; SCOLARITÉ ; PRECARITE ; HOMOPARENTALITÉ ; DIVORCE ; FAMILLE MONOPARENTALE ; PÈRE ; PATERNITE ; HOMME ; FRANCE

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