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Documents Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales - EHESS 27 résultats

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E.H.E.S.S. ; EHESS

Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales
Paris
2


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y
- 391 p.
Cote : 431 TAT
À l'approche des 50 ans de la loi Veil sur l'IVG, Laura Taoueix propose une histoire de l'avortement volontaire en France, à l'époque moderne. Confrontée à la difficulté de retrouver les traces de cette pratique souvent confinée au secret, elle explore les silences des sources et les ambiguïtés des discours pour retracer l'histoire longue de l'avortement, entre normes et pratiques. Interrogeant les discours théologiques et juridiques de l'époque moderne, Laura Tatoueix suit un parcours qui va de la fabrication canonique d'un péché mortel jusqu'à l'élaboration d'une catégorie criminelle sécularisée. S'y adossent alors des dispositifs répressifs qui peinent à distinguer l'avortement de l'infanticide : si l'avortement apparaît dans les archives judiciaires, il est toujours associé à d'autres crimes. Tout l'enjeu de ce livre est donc de dévoiler ce qui a longtemps été dissimulé, pour reconstituer un pan de l'histoire moderne, à travers l'histoire des femmes et celle du corps (des avortées, des fœtus). L'historienne s'intéresse ici aux acteurs et actrices de l'avortement, aux conditions matérielles d'un acte qui se médicalise, tout comme aux modifications du regard porté sur ces femmes désormais érigées en victimes poussées à « défaire leur fruit ». En portant son attention sur les pratiques, l'autrice appréhende l'avortement comme un phénomène social global, encadré par le secret, la rumeur et la dénonciation, et soumis à des réalités de classes.[-]
À l'approche des 50 ans de la loi Veil sur l'IVG, Laura Taoueix propose une histoire de l'avortement volontaire en France, à l'époque moderne. Confrontée à la difficulté de retrouver les traces de cette pratique souvent confinée au secret, elle explore les silences des sources et les ambiguïtés des discours pour retracer l'histoire longue de l'avortement, entre normes et pratiques. Interrogeant les discours théologiques et juridiques de l'époque ...[+]

AVORTEMENT ; FRANCE ; HISTOIRE ; EPOQUE HISTORIQUE ; XVIe SIECLE ; XVIIIe SIECLE ; RELIGION ; LEGISLATION ; REPRESSION ; METHODE D'AVORTEMENT

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y

Cote : 515 CHA
Mémoire de M1 qui s'appuie sur un travail de recherche mené entre janvier et avril 2024, fruit d'un partenariat entre l'ouscipo (https://ouscipo.ehess.fr) et le Planning familial. L'autrice a réalisé des entretiens ethnographiques avec des conseillères conjugales et familiales exerçant au Planning pour tenter de comprendre quel est le travail émotionnel en jeu dans l'accompagnement des victimes de violences.

CONSEIL CONJUGAL ; ECOUTE ; VIOLENCE AU SEIN DU COUPLE

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y
- 99 p.
Cote : 105 COU
L'intention de ce numéro est de faire dialoguer deux domaines de la sociologie rarement travaillés ensemble, celui de la sexualité et celui de la socialisation. Un premier objectif est d'étudier la façon dont la sexualité « s'apprend » tout au long de l'existence à travers différentes expériences socialisatrices.
Un second objectif est d'explorer la socialisation par la sexualité. Il s'agit ici d'examiner comment la sexualité peut constituer un cadre socialisant à des pratiques et des visions du monde qui la dépassent, autrement dit comment les expériences vécues en matière de sexualité peuvent avoir des effets socialisateurs au-delà de la sexualité[-]
L'intention de ce numéro est de faire dialoguer deux domaines de la sociologie rarement travaillés ensemble, celui de la sexualité et celui de la socialisation. Un premier objectif est d'étudier la façon dont la sexualité « s'apprend » tout au long de l'existence à travers différentes expériences socialisatrices.
Un second objectif est d'explorer la socialisation par la sexualité. Il s'agit ici d'examiner comment la sexualité peut constituer un ...[+]

SOCIOLOGIE ; SEXUALITE ; SOCIALISATION

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Cote : 433 TER w
En France, depuis 1976, près de 200 000 IVG sont dénombrées chaque année. En moyenne, une femme sur trois est susceptible de connaitre l'expérience abortive au cours de sa vie. L'IVG fait donc partie intégrante de l'expérience reproductive des femmes mais aussi de celle des hommes qui, par leurs comportements sexuels et contraceptifs, participent à l'avènement d'une grossesse non prévue. Pour autant, peu de données témoignent des comportements masculins en situation. Ce mémoire a pour objectif d'analyser les places des hommes dans les processus d'avortement selon une approche synchronique d'une part, et diachronique d'autre part. L'analyse se porte en premier lieu sur les places que prennent les hommes – qu'elles soient voulues, imposées ou empêchées – dans les prises en charge de l'avortement. Dans un second temps, l'approche diachronique s'intéresse à la place que prend l'avortement (ou les avortements) dans les parcours des hommes à l'aune de leurs différentes étapes de vie, de leurs âges ou des relations qu'ils entretiennent avec les femmes concernées. À ce titre, nous questionnons comment l'IVG peut être un levier permettant de modifier les comportements des hommes en santé sexuelle et reproductive, particulièrement au regard de leurs pratiques contraceptives.
Ce mémoire s'appuie sur 13 entretiens semi-directifs menés avec des hommes ayant connu, au cours de leurs vies, au moins une fois l'expérience de l'IVG. Par ailleurs, une attention particulière est portée aux manières dont les hommes sont perçus et classifiés par l'institution médicale afin d'ordonner la norme procréative. Une série d'observations a donc été effectuée en service d'orthogénie d'une structure médicale publique.
De la sorte, ce travail permet de s'intéresser aux lectures masculines de la norme procréative et à l'articulation entre masculinités et santé sexuelle reproductive. Il permet de comprendre comment l'avortement est imbriqué dans une série d'apprentissages genrés, avec lesquels les hommes composent, pour justifier le recours à l'IVG et répondre aux « besoins » de leur partenaire. Par ailleurs nous observons comment la grossesse non prévue illustre des comportements masculins en sexualité et en contraception. L'IVG visibilise ainsi certains fondements de la sexualité hétérosexuelle, naturalisant les pratiques pénétratives et le travail contraceptif du côté des femmes. Enfin, si certains hommes se saisissent de l'expérience abortive pour modifier leurs pratiques contraceptives, voire, sexuelles, cela ne semble pas systématique. Il s'agit d'interroger précisément dans quelles mesure l'IVG est susceptible d'infléchir ces pratiques. Si l'avortement peut être un levier pour modifier leur pratiques contraceptives, il ne semble l'être qu'au regard de certaines conditions. L'IVG en elle-même n'a pas toujours une influence directe. C'est plutôt sa répétition dans les parcours biographiques ou les modalités dans lesquelles elle se déroule qui permettent aux hommes d'amorcer une réflexion sur la contraception. En définitive, il s'agit d'aborder comment les hommes articulent cette expérience au sein de leurs parcours de vie et comment, sa visibilisation et ses impacts font corps avec les définitions qu'ils donnent à leur masculinité.[-]
En France, depuis 1976, près de 200 000 IVG sont dénombrées chaque année. En moyenne, une femme sur trois est susceptible de connaitre l'expérience abortive au cours de sa vie. L'IVG fait donc partie intégrante de l'expérience reproductive des femmes mais aussi de celle des hommes qui, par leurs comportements sexuels et contraceptifs, participent à l'avènement d'une grossesse non prévue. Pour autant, peu de données témoignent des comportements ...[+]

AVORTEMENT ; GROSSESSE NON DÉSIRÉE ; SANTE SEXUELLE ET REPRODUCTIVE ; CONTRACEPTION ; HETEROSEXUALITE ; NORME ; CONDITION MASCULINE

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y
- 457 p.
Cote : 202 CLA
La critique de la famille est au cœur de la pensée féministe. Pourtant, dans les études de genre, comme dans bien d'autres domaines de recherche, la métaphore familiale est souvent mobilisée pour exprimer l'entremêlement du biographique et du bibliographique, du personnel et du politique, des idées et des affects. Composé d'articles, d'entretiens, de récits et de cartes mentales, cet ouvrage déplie la métaphore pour saisir ce que l'on considère d'ordinaire comme étranger à la sphère professionnelle et intellectuelle. Des AG enfumées du MLF aux bancs de l'université et aux mobilisations actuelles, comment comprendre de manière réflexive les héritages, les liens, les ruptures, les griefs ou les passages de relais entre les générations ? En retraçant l'histoire d'un engagement collectif qui a transformé la pratique des sciences humaines et sociales, ce livre révèle aussi la matière même des vies intellectuelles.[-]
La critique de la famille est au cœur de la pensée féministe. Pourtant, dans les études de genre, comme dans bien d'autres domaines de recherche, la métaphore familiale est souvent mobilisée pour exprimer l'entremêlement du biographique et du bibliographique, du personnel et du politique, des idées et des affects. Composé d'articles, d'entretiens, de récits et de cartes mentales, cet ouvrage déplie la métaphore pour saisir ce que l'on considère ...[+]

FEMINISME ; HISTOIRE ; SOCIOLOGIE ; MOUVEMENT DE FEMMES ; MOUVEMENTS DE LIBERATION DES FEMMES ; LUTTE FEMINISTE ; ASSOCIATION

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- 571 p.
Cote : 832 CHA w
Enquêter sur la patrimonialisation des minorités LGBTQI (lesbiennes, gays, bis, trans, queer et intersexes) et de la lutte contre le sida en France m'a conduit à repérer et à analyser une série de situations, qui remontent au début des années 1980, à l'articulation entre trajectoires personnelles, mondes des associations et des institutions. Ces situations traduisent des questionnements et des prises de conscience, des modes de résistances ou d'acceptations, des formes d'attachements et des registres d'émotions qui façonnent les tensions que traversent acteurs et actrices de la patrimonialisation et de
la mémoire. Ces situations et ces rencontres forment le tableau d'une complexité d'enjeux, de lieux et de positionnements, complexité qui adresse des questions fondamentales : quelles relations entretenir avec les mort·es ? Comment s'inscrire dans le temps ? Le sida, le genre ou la sexualité ont-t-ils leur place au musée ? Comment constituer et transmettre la mémoire d'une lutte sociale et politique ou d'une culture minoritaire ? Comment garder cette mémoire vivante, active et signifiante ? Qu'est-ce que collecter une trace ? Que nous racontent-elles, que nous font-elles faire ? L'État peut-il ingérer sans hoquet les archives et objets des groupes et des personnes l'ayant combattu ou existant dans ses marges, et ces groupes et personnes les lui donner sans contorsion ? Ma recherche est nourrie d'une expérience de trois ans, en contrat CIFRE, au Musée des Civilisations de l'Europe et de la Méditerranée ainsi que de mon implication dans plusieurs projets militants, au Collectif Archives LGBTQI à Paris et à Mémoire des sexualités à Marseille. Ce travail de terrain s'appuie sur l'exploration de différents fonds d'archives et de documentation, qu'ils soient publics ou privés, sur des éléments de mise en perspective internationale (Allemagne, Pays-Bas, États- Unis, Royaume-Uni, Nouvelle-Zélande, Australie) et sur la réalisation d'une trentaine d'entretiens compréhensifs avec des professionnel·les du patrimoine, des responsables politiques, des chercheurs et chercheuses, comme des militant·es associatif·ves. [-]
Enquêter sur la patrimonialisation des minorités LGBTQI (lesbiennes, gays, bis, trans, queer et intersexes) et de la lutte contre le sida en France m'a conduit à repérer et à analyser une série de situations, qui remontent au début des années 1980, à l'articulation entre trajectoires personnelles, mondes des associations et des institutions. Ces situations traduisent des questionnements et des prises de conscience, des modes de résistances ou ...[+]

VIH/ SIDA ; LGBTQIA+ ; ASSOCIATION

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y
- 600 p.
Cote : 100.5 THO w
Ce travail de thèse porte sur les recompositions de la sexualité hétérosexuelle et des rapports de genre en France, depuis les années 1960, dans un contexte de généralisation de l'utilisation de la contraception médicale. Il vise à faire la sociogenèse des scripts de la sexualité « contraceptée », que cette contraception soit assurée par des moyens « médicaux » (méthodes hormonales, stérilet au cuivre, stérilisation), des méthodes barrières (préservatif masculin ou féminin, diaphragme, spermicides) ou encore par des méthodes alternatives souvent qualifiées de « naturelles », comme le retrait ou les méthodes d'auto-observation (méthode Ogino, méthode des températures, méthode Billings, méthode symptothermique). Le travail s'appuie sur trois types de matériaux : des données d'archives et des témoignages écrits, une analyse secondaire de données quantitatives et 71 entretiens semi-directifs avec des hommes et des femmes ayant entre 20 et 84 ans. Il s'agit, à partir de ces matériaux, de rendre compte des représentations naturalisées de la sexualité, du désir et du plaisir sexuels, ainsi que des rapports de pouvoir qui sont mis au jour par l'étude concrète des pratiques contraceptives et sexuelles.[-]
Ce travail de thèse porte sur les recompositions de la sexualité hétérosexuelle et des rapports de genre en France, depuis les années 1960, dans un contexte de généralisation de l'utilisation de la contraception médicale. Il vise à faire la sociogenèse des scripts de la sexualité « contraceptée », que cette contraception soit assurée par des moyens « médicaux » (méthodes hormonales, stérilet au cuivre, stérilisation), des méthodes barrières ...[+]

HETEROSEXUALITE ; HISTOIRE ; CONTRACEPTION ; ANNÉES 60

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y
- 335 p.
Cote : 102 GRO
Foucault prononce en 1981 un cours qui marque une inflexion décisive dans son chemin de pensée et le projet ébauché dès 1976 d'une Histoire de la sexualité. C'est le moment où les arts de vivre deviennent le foyer de sens à partir duquel pourra se déployer une pensée neuve de la subjectivité. C'est le moment aussi où Foucault problématise une conception de l'éthique comprise comme l'élaboration patiente d'un rapport de soi à soi. L'étude de l'expérience sexuelle des Anciens permet ces nouveaux déploiements conceptuels. Dans ce cadre, Foucault analyse des écrits médicaux, des traités sur le mariage, la philosophie de l'amour ou la valeur pronostique des rêves érotiques, afin d'y retrouver le témoignage d'une structuration du sujet dans son rapport aux plaisirs (aphrodisia) antérieure à la construction moderne d'une science de la sexualité, antérieure à la hantise chrétienne de la chair. L'enjeu est en effet d'établir que l'imposition d'une herméneutique patiente et interminable du désir constitue l'invention du christianisme. Mais pour cela, il importait de ressaisir la spécificité irréductible des techniques de soi antiques. Dans cette série de leçons, qui annoncent clairement L'Usage des plaisirs et Le Souci de soi, Foucault interroge particulièrement le primat grec de l'opposition actif / passif sur les distinctions de genre, ainsi que l'élaboration par le stoïcisme impérial d'un modèle de lien conjugal prônant une fidélité sans faille, un partage des sentiments, et conduisant à la disqualification de l'homosexualité.[-]
Foucault prononce en 1981 un cours qui marque une inflexion décisive dans son chemin de pensée et le projet ébauché dès 1976 d'une Histoire de la sexualité. C'est le moment où les arts de vivre deviennent le foyer de sens à partir duquel pourra se déployer une pensée neuve de la subjectivité. C'est le moment aussi où Foucault problématise une conception de l'éthique comprise comme l'élaboration patiente d'un rapport de soi à soi. L'étude de ...[+]

MICHEL FOUCAULT ; HISTOIRE ; SEXUALITE ; ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ; GENRE

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- 418 p.
Cote : 236 BRO
Cet ouvrage se veut un hommage critique à l'œuvre de Paola Tabet, anthropologue féministe qui contesta dès les années 1980 la distinction convenue entre sexualité « ordinaire » et sexualité « commerciale ». Des maisons de passe en Bolivie aux clubs libertins parisiens, de l'homosexualité au Maroc aux mariages de convenance, il propose de repenser les logiques de l'échange économico-sexuel et des rapports de genre qui le fondent. Le regard de chercheurs de terrain montre combien sont ténues les frontières qui séparent intérêts et sentiments, contraintes et plaisirs, égalité et domination. En définitive, les transactions sexuelles apparaissent conditionnées par des rapports de pouvoir où interviennent en particulier la classe sociale, la « race », l'âge ou l'orientation sexuelle.[-]
Cet ouvrage se veut un hommage critique à l'œuvre de Paola Tabet, anthropologue féministe qui contesta dès les années 1980 la distinction convenue entre sexualité « ordinaire » et sexualité « commerciale ». Des maisons de passe en Bolivie aux clubs libertins parisiens, de l'homosexualité au Maroc aux mariages de convenance, il propose de repenser les logiques de l'échange économico-sexuel et des rapports de genre qui le fondent. Le regard de ...[+]

PROSTITUTION ; ASPECT SOCIO-ECONOMIQUE ; ARGENT ; SEXUALITE ; GENRE

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- 148 p.
Cote : 313 THE
Sommaire
Prologue – Mettre en forme la controverse, Synthèse (Irène Théry)
Partie I : Mariage et adoption pour les couples de même sexe : la distinction masculin/féminin abolie ?
Jérôme Courduriès – Pourquoi cette loi maintenant ?
Serge Portelli – Panorama international et constats
Irène Théry – « Ouverture » ou « redéfinition » du mariage civil ?
Anne-Marie Leroyer – Une suppression des catégories de père et mère ?
Partie II : Deux parents de même sexe : l'institution d'un « mensonge aux enfants » ?
Laurence Brunet – L'adoption au sein des couples de même sexe : une « falsification » de la réalité ?
Martine Gross – Ouvrir l'accès à l'AMP pour les couples de femmes ?
Agnès Fine – Avoir deux pères ou deux mères : révolution ou révélation du sens de la filiation ?
Jennifer Merchant – MP et gestation pour autrui aux États-Unis, éléments d'analyse[-]
Sommaire
Prologue – Mettre en forme la controverse, Synthèse (Irène Théry)
Partie I : Mariage et adoption pour les couples de même sexe : la distinction masculin/féminin abolie ?
Jérôme Courduriès – Pourquoi cette loi maintenant ?
Serge Portelli – Panorama international et constats
Irène Théry – « Ouverture » ou « redéfinition » du mariage civil ?
Anne-Marie Leroyer – Une suppression des catégories de père et mère ?
Partie II : Deux parents de ...[+]

MARIAGE ; HOMOSEXUALITE ; FILIATION ; HOMOPARENTALITÉ ; GESTATION POUR AUTRUI ; PROCREATION MEDICALEMENT ASSISTEE ; ADOPTION ; FRANCE ; LEGISLATION

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V
- 146 p.
Cote : 220 ANC
Mémoire de master 2 en sciences sociales, mention sociologie, spécialité genre, politiques et sexualités.
Introduction
Première partie - un crime spécifiquement féminin ?
I. Meurtres de nouveaux-nés : état des savoirs
II. Le néonaticide dans le droit français
Deuxième partie - psychopathologie du crime : des femmes anormales
I. La place des expertises psychiatriques et psychologiques dans la procédure
II. Les rapports d'expertise et la construction d'un sujet hors normes
III. Les limites de l'approche par le psychisme
Troisième partie - L'élaboration collective d'un récit vraisemblable
I. Néonaticide et déni de grossesse : un amalgame persistant
II. La co-production d'une représentation pathologisante
III. De l'incroyable au vraisamblable
Quatrième partie - Un traitement andocentré
I. Manière de juger
II. La représentation de la "mère infanticide" dans le traitement judiciaire
III. Une parole sous contrôle
Cinquième partie - Un crime symptomatique d'un malaise social ? La société et le refus de maternité
I. La minimisation des déterminants sociaux
II. L'occultation des questions liées à la maîtrise de la fécondité[-]
Mémoire de master 2 en sciences sociales, mention sociologie, spécialité genre, politiques et sexualités.
Introduction
Première partie - un crime spécifiquement féminin ?
I. Meurtres de nouveaux-nés : état des savoirs
II. Le néonaticide dans le droit français
Deuxième partie - psychopathologie du crime : des femmes anormales
I. La place des expertises psychiatriques et psychologiques dans la procédure
II. Les rapports d'expertise et la ...[+]

DÉNI DE GROSSESSE ; INFANTICIDE ; NOUVEAU-NÉ ; GENRE ; NON DESIR D'ENFANT ; ASPECT PSYCHOLOGIQUE ; FRANCE

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- 310 p.
Cote : 220 ERT
En France, depuis la législation de la contraception et de l'avortement, le désir de maternité s'est affirmé. De naturelle, la naissance d'un enfant est devenue choix programmé, médicalement assisté, parfois un dû. Aujourd'hui, les femmes stériles veulent devenir mères ; le peuvent parfois, grâce aux NTR. Les avancées médicales et technologiques suscitent des espoirs jugés démesurés hier. La mort elle-même paraît incongrue. Partant au contraire de l'idée que la mort est présente en soi à tout moment de la vie, l'étude vise à apprécier ce que le rapport personnel à la mort induit dans le désir de maternité. Pour observer l'évolution (mentalités, comportements, la recherche s'appuie sur 40 témoignages – hommes/femmes. Des spécialistes réfléchissent sur leur pratique. La vie quotidienne à Paris sert de toile de fond. Quels rôles jouent le cadre social, le roman familial, les aléas de la vie dans le désir d'être mère, ou de ne pas l'être ? Comment est vécue la maternité ? Son refus ? La stérilité ? Quel est l'impact des lois sur des pratiques comme l'IVG, le don de gamètes, la GPA, la stérilisation ? Dans un pays où la révision des lois de bioéthique provoque des remous, les réponses données sont nécessairement évolutives.[-]
En France, depuis la législation de la contraception et de l'avortement, le désir de maternité s'est affirmé. De naturelle, la naissance d'un enfant est devenue choix programmé, médicalement assisté, parfois un dû. Aujourd'hui, les femmes stériles veulent devenir mères ; le peuvent parfois, grâce aux NTR. Les avancées médicales et technologiques suscitent des espoirs jugés démesurés hier. La mort elle-même paraît incongrue. Partant au contraire ...[+]

MATERNITE ; DESIR D'ENFANT ; COUPLE ; FEMME ; NON DESIR D'ENFANT ; GROSSESSE ; GROSSESSE NON DÉSIRÉE ; AVORTEMENT ; CONTRACEPTION ; MÈRE ; ACCOUCHEMENT ; AVORTEMENT THERAPEUTIQUE ; PROCREATION MEDICALEMENT ASSISTEE ; STERILITE ; STERILISATION VOLONTAIRE ; ASPECT ETHNOLOGIQUE ; ANTHROPOLOGIE ; INFANTICIDE ; MORT ; MORT FOETALE IN UTERO ; ENFANT MORT-NÉ ; MORT SUBITE DU NOURRISSON ; XXIe SIECLE

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Cote : 323 PLO
Dossier d'études n°149
sommaire
1. Avoir un premier enfant, les conditions de planification et lde la réalisation
2. Le congé parental et le retour à l'emploi des mères
3. Limites et perspectives

PARENTALITE ; CONGE PARENTAL ; ALLOCATION FAMILIALE ; TRAVAIL ; ASPECT SOCIO-ECONOMIQUE ; FRANCE ; FEMME ; MATERNITE

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- 117
Cote : 221 MEN
L'étudiante se propose d'analyser le phénomène de la grossesse comme une construction sociale. L'objectif est de montrer que la grossesse ne relève pas simplement de la nature mais que des représentations sociales et des normes sociales interfèrent et modulent le vécu des femmes enceintes. Julie Menuel aborde le sujet de manière originale en déconstruisant la grossesse et en étudiant les diverses instances de socialisation de la femme enceinte. Elle décrit finement ce moment-clé qu'est la grossesse et la manière dont on enseigne aux femmes à être de « bonnes » femmes enceintes. Cette recherche s'appuie sur un travail d'observation ethnographique de cinq mois de cours collectifs de préparation à la naissance. L'observation s'est déroulée dans trois lieux : une maternité parisienne, une en banlieue et un cabinet libéral de sages-femmes en proche banlieue. Parallèlement treize entretiens de type semi directifs ont été réalisés avec des femmes en fin de grossesse afin de connaître leur vécu de cette expérience...[-]
L'étudiante se propose d'analyser le phénomène de la grossesse comme une construction sociale. L'objectif est de montrer que la grossesse ne relève pas simplement de la nature mais que des représentations sociales et des normes sociales interfèrent et modulent le vécu des femmes enceintes. Julie Menuel aborde le sujet de manière originale en déconstruisant la grossesse et en étudiant les diverses instances de socialisation de la femme enceinte. ...[+]

ASPECT SOCIOLOGIQUE ; GROSSESSE ; SUIVI DE LA GROSSESSE ; FRANCE

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- 309 p.
Cote : 811.4 THE
Faut-il lever l'anonymat des donneurs dans le cadre de l'assistance médicale à la procréation ? Alors que les premiers enfants nés grâce aux dons sont devenus de jeunes adultes et, pour certains, revendiquent l'accès à leurs origines, comment distinguer les places respectives des protagonistes du don d'engendrement : parents, enfants, donneurs ? L'enfant n'est-il pas le grand oublié de la perspective médicale traditionnelle assimilant don de gamètes et don du sang, au prix de l'effacement d'une partie de son histoire ? D'une plume résolument engagée, Irène Théry propose un regard critique sur le modèle bioéthique français qui a sacralisé l'anonymat du don de gamètes alors que tant de pays démocratiques ont su passer du modèle initial Ni vu ni connu à celui de Responsabilité où le donneur - homme ou femme - cesse d'être perçu comme un spectre menaçant.
La panique morale qui semble saisir la société française - corps médical, responsables politiques, religieux - devant une telle évolution révèle les préjugés et les résistances face aux nouvelles représentations de l'identité personnelle et de la filiation, transformées par l'égalité des sexes, le démariage et l'émergence sociale de l'homoparentalité.[-]
Faut-il lever l'anonymat des donneurs dans le cadre de l'assistance médicale à la procréation ? Alors que les premiers enfants nés grâce aux dons sont devenus de jeunes adultes et, pour certains, revendiquent l'accès à leurs origines, comment distinguer les places respectives des protagonistes du don d'engendrement : parents, enfants, donneurs ? L'enfant n'est-il pas le grand oublié de la perspective médicale traditionnelle assimilant don de ...[+]

BIOETHIQUE ; DON D'OVOCYTE ; DON DE SPERME ; FILIATION ; ACCOUCHEMENT SOUS X ; ACCÈS AUX ORIGINES ; HOMOPARENTALITÉ ; ANONYMAT ; PROCREATION MEDICALEMENT ASSISTEE ; FAMILLE ; SOCIETE ; FRANCE ; LEGISLATION

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- 106 p.
Cote : 217 GUI
- La sous-évaluation du travail des femmes au Royaume-Uni(The under evaluation of women work in the UK) / Jill Rubery) - La prise en charge par la CFDT de la question des femmesdans les années 1960 et 1970 (The CFDT policies on « women's question » in 1960s and 1970s) / Pascale Le Brouster- Le nouveau défi de l'égalité pour le syndicalisme français : l'exemple de la charte de la CGT (The new challenge of equality for French Trade Unions : the example of CGT Charter) / Rachel Silvera
DiscussionL'égalité professionnelle: un objet insaisissable pour les syndicats ? (Equal opportunities : an uncatchable object for Trade Unions ?) / Anne Révillard - The emergence of gender in British industrial relations and Trade Union studies (L'émergence du genre dans la sociologie anglaise des relations industrielles et des syndicats) / Sue Ledwith .- The Making of Women Trade Unionists (La fabrication des femmes syndicalistes) / Gill Kirton - The gendered nature of union careers : the touchstone of equality policies ? Comparing France and the UK(La nature genrée des carrières syndicales : la pierre de touche des politiques d'égalité ? Une comparaison entre la France et l'Angleterre) / Cécile Guillaume et Sophie Pochic Discussion- Genre et engagement syndical : enjeux scientifiques et politiques de la mixité (Gender and union commitment : scientific and political issues of internal equality) / Catherine Achin .


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- La sous-évaluation du travail des femmes au Royaume-Uni(The under evaluation of women work in the UK) / Jill Rubery) - La prise en charge par la CFDT de la question des femmesdans les années 1960 et 1970 (The CFDT policies on « women's question » in 1960s and 1970s) / Pascale Le Brouster- Le nouveau défi de l'égalité pour le syndicalisme français : l'exemple de la charte de la CGT (The new challenge of equality for French Trade Unions : the ...[+]

SYNDICALISME ; GENRE ; FEMME ; SYNDICAT ; MILITANTISME ; SOCIOLOGIE

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y
- pp. 375-392
Cote : 500 FAS
Le genre fut créé dans les années 1950 et 1960 par des psychologues américains afin de médicaliser l'intersexualité et la transsexualité. Dans les années 1970, les féministes se sont approprié le terme pour dénaturer la féminité, transformant cette catégorie normative en outil critique. Dans les années 1980, tandis que lkes études féministes jouissent aux Etats-Unis d'une reconnaissance institutionnelle, les féministes ne sont pas acceptées dans le champs universitaire en France. Lorsque les questions féministes redeviennent d'actualité à partir de 1989, cette politisation est rejettée au nom de la République : le concept de "genre" devient un enjeu national. A la fin des années 1990, les débats publics reprennent sur les questions sexuelles et après le 11 septembre, la légitimité nouvelle du genre est prise dans un impérialisme nouveau de la démocratie sexuelle. La nature ambiguë du genre, à la fois normatif et critique, est une tension qui définit les études féministes. [-]
Le genre fut créé dans les années 1950 et 1960 par des psychologues américains afin de médicaliser l'intersexualité et la transsexualité. Dans les années 1970, les féministes se sont approprié le terme pour dénaturer la féminité, transformant cette catégorie normative en outil critique. Dans les années 1980, tandis que lkes études féministes jouissent aux Etats-Unis d'une reconnaissance institutionnelle, les féministes ne sont pas acceptées dans ...[+]

RAPPORTS HOMME-FEMME ; RAPPORTS SOCIAUX DE SEXE ; GENRE ; FEMINISME ; RECHERCHE SCIENTIFIQUE ; IDENTITÉ SEXUELLE ; SEXUALITE ; ETATS-UNIS ; FRANCE

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- 222 p.
Cote : 830 PER
Aujourd'hui, près de 150 000 personnes vivent en France avec le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), et plus de 6 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Grâce aux trithérapies, la mortalité due au sida a considérablement reculé dans notre pays. Mais ces traitements ne guérissent pas les personnes atteintes, qui doivent apprendre à vivre avec le virus. L'infection à VIH est ainsi devenue une nouvelle maladie chronique, qui touche en majorité des adultes en âge de travailler et de fonder une famille, contraints de suivre un traitement souvent très lourds, aux effets secondaires parfois redoutables. Cet ouvrage présente les résultats de la première grande enquête nationale conduite en France auprès des personnes séropositives, VESPA (VIH : enquête sur les personnes atteintes), réalisées sous l'égide de l'Agence nationale de recherches sur le sida et les hépatites virales (ANRS).. Cet ouvrage aborde de nombreux aspects de la vie quotidienne de ces personnes : leur santé et leur qualité de vie, les obstacles qu'elles rencontrent sur le marché du travail, le retentissement de l'infection sur leur vie sexuelle et leurs projets de parentalité, les difficultés à suivre un traitement contraignant, l'expérience de la discrimination, la révélation ou au contraire la dissimulation de leur séropositivité à l'entourage... L'examen de ces divers aspects du quotidien des personnes séropositives montre que la normalisation de l'infection à VIH est toute relative : cette infection n'est pas une maladie chronique comme les autres. En outre, sa chronicisation contribue à accentuer les inégalités sociales parmi les personnes atteintes.[-]
Aujourd'hui, près de 150 000 personnes vivent en France avec le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), et plus de 6 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. Grâce aux trithérapies, la mortalité due au sida a considérablement reculé dans notre pays. Mais ces traitements ne guérissent pas les personnes atteintes, qui doivent apprendre à vivre avec le virus. L'infection à VIH est ainsi devenue une nouvelle maladie chronique, qui touche ...[+]

VIH/ SIDA ; SEROPOSITIVITE ; TRAITEMENT MEDICAL ; MORTALITE ; MALADIE ; EFFET SECONDAIRE ; MEDICAMENT ; ENQUETE ; VIE FAMILIALE ET RELATIONNELLE ; TRAVAIL ; DISCRIMINATION ; SANTE ; SEXUALITE ; FRANCE

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- 340 p.
Cote : 832 HAM
Ce mémoire d thèse présenté en vue de l'obtention du titre de docteur de l'EHESS est une analyse sociologique des rapports entre immigration maghrébine et transmision du sida en France. Cela implique une étude de la sexualité et des représentations liées à elle dans cette population.

VIH/ SIDA ; SOCIOLOGIE ; MAGHREB ; PERSONNE D'ORIGINE MAGHRÉBINE ; FRANCE

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